Zetsu le Croquemort

• Ton Prénom :

Zetsu

• Ton Âge :

Alors la...C'est une colle...Je dirais un peu plus de la vingtaine a tout casser....

• Nindo (= But) :

Euh...Te manger ?

• Tes Affinités / Spécialités :

Ahem...Devoration de cadavres et passages a travase toute les plantasses ?

• Le Grade que tu désires :

Akatsuki membre's.

• Le Village que tu désires :

Celui des jardiniers *sbaff* Akatsuki...what else ?

• Ton Physique :

La silhouette de Zetsu est assez atypique en soit. Plutôt grand et mince, ses cheveux sont taillés court et possèdent une curieuse couleur verte des plus troublantes. Son visage est beau, et anguleux comme s’il avait était taillé a coup de serpe. Mais le plus étrange c’est que sont visage, et son corps entier son séparé en deux partis d’une couleur distinct l’une de l’autre.
La partie noire étant aussi sombre que l’ébène alors que la partie gauche est pale comme le lait. Ce qui le fait plus ou moins ressembler a un Yin Yang ambulante de forme vaguement (mais alors TRES vaguement) humaine.
En observant son visage, on aperçoit des étranges pastilles métalliques d’origine et de fonction non identifié sur la partie noire de son visage. Il en a deux sur le front, une sur le menton, une sur la joue et la dernière sur l’arcade sourcilière. Cela accentue le coté un peu « voyou » de sa partie noire, qui de surcroit est dépourvut de tout sourcil. Son œil droit entièrement d’un jaune d’or un brin inquiétant as une forme curieux, il est totalement rond. Ce qui renforce le coté horrible de son apparence hétéroclite. Il possède apparemment un dojutsu assez puissant qui ressemble pour le moins au Byakugan. Une vue a distance et périphérique, très utile pour espionner, combiné a sa capacité de déplacement exceptionnelle a travers toute les matières il est l’espion et l’éclaireur parfait.
Sa partie gauche, la blanche est bien moins remarquable (enfin si on considère qu’un sourcil vert c’est normal XD…) son œil est normal mais est de la même teinte doré inquiétante que l’autre.

Passons a présent au coté le plus remarquable/horrible/risible de Zetsu. C’est un homme plante. Des deux coté de sa tête se trouve une puissante mâchoires végétale dentelé de « croc » rigide tranchant comme des lame de rasoir a la puissance angoissante. Semblable à celle qu’on peut apercevoir sur les petites plantes carnivores agressives mais en version King size. Il est capable de les ouvrir et les refermer a volonté et on peut apercevoir par d’entrebâillement des mâchoires, les épaules et son torse nu. On remarque aussi que les « dents » de la plante carnivore descendent le long de celui-ci. Et que, s’il semble que ses bras sont entièrement bloqués par les gigantesques mâchoires, il puisse tout de même suffisamment ouvrir sa gueule pour en extraire les bras. Et donc exécuter des Justus et porte la bague de l’Akatsuki.

Zetsu est vêtu de la tenue de base de l’Akatsuki. Grand manteau noir orné de nuage rouge stylisé a l’intérieur rouge. Vu les épaules anecdotique de Zetsu, la boutonnière est ouverte assez large ce qui lui donne un aspect assez pataud de colonne en manteau. Au niveau de ses jambes qui correspondent au standard humain (enfin ><) Il porte un pantalon un peu bouffant bleu clair serré au dessus du genou par des espèces de jambières blanche retenu sous le pied par une lanière. Ses chaussures semblent être le prolongement de son pantalon (ca doit être chaud à enfiler…surtout sans bras XD) laissant les orteils a l’air pour éviter les odeurs désagréable*sbaff*


• Ton Caractère:

Zetsu étant complètement schizophrène, la description mentale se feras en deux partie : La partie Dark Zetsu et la partie White Zetsu.

Dark Zetsu.

La ou notre monde as commencé c’était un endroit sombre et étrange, même pour quelqu’un comme nous. Je me souviens de ces grandes colonnes sombre qui s’élevaient jusqu'à la voute du ciel, aussi sombre que la nuit de mes souvenir avant cette image. Il se souvient de l’odeur de la terre et de la douce chaleur de l’air. Nous nous souvenons donc d’une forêt sombre, aux arbres immenses qui se dressaient vers l’infini du ciel, hommage a un dieu inconnu, de l’odeur des ténèbres et du gout qu’avait l’air autour de nous. De cela nous nous rappelons. Je ne me souviens de rien avant cela, il se souvient de la souffrance. Une souffrance sans source ni visage. Un grand vide de douleur dans notre histoire et dans notre cœur. Peut nous importe. Seule nous sommes autant que solitaire nous ne seront jamais. La souffrance n’est toujours que temporaire mais nous nous sommes absolue.
Et nous avons grandit ainsi. Horriblement seul mais sans jamais trop en souffrir. Le monde était ainsi constitué de titans végétaux et calmes que rien n’ébranlerait jamais. Le silence seulement perturbé par le chant joyeux d’oiseaux et autres bêtes qui nous servaient de source de nourriture. Jamais nous n’avons souffert de la faim, ce sentiment nous était inconnu. Chasser n’a jamais était un problème pour nous. Le bois, la roche, la terre, tout ses murs infranchissables qui entoure, cloitre et enferme toute les créatures vivantes dans un carcan inconfortable sont autant de porte et de passage pour nous. Nous nous glissons silencieusement sous notre proie bruyante et maladroite et lui ôtons la vie sans qu’elle en comprenne ce qui lui arrive. Nous procédons toujours ainsi.
Certaine fois, nous voyons de loin à travers la roche et les obstacles d’étranges créatures. Bruyante et maladroite, elles empiètent sur notre territoire mais le plus souvent le traverse en petit groupe sans s’arrêter. Elles n’agissent pas normalement. Nous ne nous en approchons pas, quel besoin aurions eut de s’approcher de ces créatures bipèdes ? Et pourtant elle m’intriguait, une réaction que je n’aurais pu m’expliquer. Leurs langages, leurs gestes brusques et contrôlés, tout en eux exerçait une fascination sur moi. Il ne les aimait pas en revanche et refusait de s’en approcher plus que nécessaire comme le faisait les bêtes de la forêt. J’avais beau lui dire que des bêtes nous n’étions pas il se méfiait trop. Incapable de résoudre ce conflit nous les suivions discrètement, je pouvais ainsi satisfaire ma curiosité tout en restant à une distance suffisante. Ce statut quo dura longtemps, très longtemps, malgré notre conception du temps très anecdotique nous le savions. Nous avions grandit et forcit. Notre mâchoire s’était fait bien plus tranchante et puissante, nous voyions plus loin et nous nous déplacions plus vite que jamais. Nous étions devenus fort. Cette prise de conscience me rendit arrogant alors que lui s’en sentait soulagé. Il était moins craintif et me permettait de nous approcher plus prêt des étranges créatures je pouvais les entendre à présent. Leurs pépiements mélodieux plus complexes que le chant des oiseaux. Cela éveilla sa curiosité, il aimait comprendre les choses. Nous apprenions ainsi à reconnaitre certain son qui désignait une chose précise. Nous apprenions et nous faisions de plus en plus imprudent, nous rapprochant plus qu’il ne l’était raisonnable. Nous les frôlions sans qu’il ait de réaction, il était aveugle a notre présence. C’est ce que nous avions ne finit pas croire. Un jour la chance tourna brusquement, elle le fait toujours.
Alors que nous étions sortit jusqu'à mi torse de ce que les bipèdes nommaient impudemment la « terre » l’un d’entre eux nous aperçut. Il était quatre, trois petits et un gros. Ils n’étaient pas normaux, même selon les critères de ces créatures. Leur déplacement était bien plus rapide et silencieux. C’est ce qui nous avez intrigué, qui était-il ? Qu’était-il exactement ? En quoi était-il si différent ? Nous étions intrigués…nous avons était négligeant. C’est le grand qui nous aperçut le premier, il se figea brutalement et son visage changea. Puis les petits probablement alerté par l’attitude du grand se mirent à hurler. Un son violent, presque physique, qui nous frappa violement, affolé et bien trop choqué pour réagir nous n’avons rien fait, fixant les calmes bipèdes soudainement affolé. Une douleur insupportable explosa soudain lorsqu’une chose brillante se planta dans notre fragile mâchoire. Une étoile blanche explosa dans notre esprit brouillant notre vue, jamais au grand jamais nous ne nous étions sentit aussi mal. Que ce que ces bipèdes nous avait fait ? Pourquoi une telle réaction ? Aussi violente ? Nous n’avions jamais fait de mal a qui que ce soit…La vision nous revint enfin, vacillante et floue, d’un geste j’arrachais l’objet responsable de notre calvaire. Long et tranchant il luisait d’un liquide rouge et opaque à l’odeur étrange. Un papier était fixé à l’une des extrémités de l’objet.

Un papier blanc bordé de rouge ou était inscrit des étranges taches noires, un papier noir qui achevait de ce consumer en grésillant.

Puis soudain tout ce déchaina. Une douleur, abominable, insupportable, au delà de tout ce que nous aurions pu imaginer. Un bruit si intense qui déchira nos tympans comme nos mâchoires déchirait la peau d’un lapin. L’explosion nous arracha brutalement de la terre, refuge rassurant, pour être éjecté dans les airs. Après un court vol, aveugle, sourd et meurtrie de tout part, ce fut un arbre qui nous réceptionna. Le choc fut terrible. Le son de nos os broyé dans cette brutale rencontre résonne encore à nos oreilles. Epouvanté et gravement blessé, je me glissais dans la terre aussi vite que mes blessure me le permettait. Je m’enfuis le plus vite possible, mais les déplacements qui m’avait parut si facile et instinctif toute ma vie était rendu presque impossible. Ma tête se mis à tourner violement et mon estomac se révulsa. Sa conscience disparut me laissant seul et plus que jamais désemparé et perdu. Je luttais violement contre le froid et les ténèbres qui m’envahissaient. Tout en tentant de retenir sa conscience qui s’effilochait comme un drapeau dans une tempête.

C’est alors que quelque chose se referma brutalement sur ma cheville droite.

L’étau était si puissant que je crus que mes os allaient en être broyés. Il m’avait suivit ! Le grand m’avait suivit dans la terre ! Mon domaine, mon sanctuaire ! Et il continuait à m’attaquer avec acharnement. J’aperçus l’un des objets long et brillants qui avait explosé tantôt dans sa main droite. Avec lenteur il le tendit vers mon cœur qui battait si vite que j’aurais cru qu’il allait exploser. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Qu’avais-je fais ? Que devais-je faire ? La lame s’appuya sur mon torse, menaçante, promettant une mort douloureuse. Mourir ? C’est a cette pensée que j’ai perdu la tête. Je claquais brutalement des mâchoires, tranchant net la main menaçante et son arme. D’un geste brusque je me dégageais de son étreinte tirant de ma peur et de ma rage une force surhumaine. Rapidement je m’éloignais de lui, j’aurais pu m’enfuir alors. J’étais libre a nouveau, mais la colère et la douleur se devait d’être vengé, sauvagement. Je fis brutalement demi tour et fonçait vers lui. J’étais un requin, il était dans mon eau. Il essayait de regagner la surface, mais son mouvement était affreusement lent par rapport au mien, je le rattrapais juste quand il parvenait a l’atteindre.
Il sortit son bras mutilé du sol, comme pour appeler a l’aide. D’un coup puissant de mâchoire je le tranchais en deux. Du sang m’éclaboussa le visage et des morceaux de chair flasque heurtèrent mon visage. Dans un état second j’entendis les hurlements des petit résonnait lugubrement a la surface. Il avait du trouver leur compagnon, mutilé, tranché en deux, son sang rougissant la terre la transformant une boue épaisse et lisse. Je n’y prêtais qu’une attention distraite. Je fuyais de toute la vitesse que j’étais capable d’atteindre pour m’éloigner de ce théâtre de violence auquel je n’était pas habitué, pas encore. Blessé et profondément bouleversé, j’atteins enfin un lieu calme, sans source de vie aux alentour. Je sortis prudemment de la terre et m’approchait en rampant du ruisseau d’eau clair qui coulait a proximité. L’air frais et le contact humide et rassurant de l’eau calmèrent les battements hystériques de son cœur. L’adrénaline reflua dans son sang apportant avec elle la souffrance et la faiblesse. Les ténèbres s’emparèrent de l’univers.


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Lorsque je me suis réveillé, la première chose que j’ai perçut c’était sa présence, il rêvait tranquillement. J’avais réellement cru qu’il était mort lorsque son esprit c’était évaporé, mon soulagement n’avait pas de description suffisamment forte. La seconde chose fut la douleur. Abominable, insupportable. Au bord de la nausée je sentis qu’il sortait de son sommeil, réagissant a ma détresse. Son soutien moral me fit du bien. Mais à présent nous souffrions tout les deux. C’était ainsi que ce devait être que ce devrait toujours être me fit il remarquer. Je trouvais que ces mots avaient la consonance d’une vérité indiscutable et indiscutée. Perturbé par le sang séché maculant notre visage il m’interrogea, a la fois curieux et horrifié sur les événements qui s’était produit lors de son absence. J’hésitais à lui répondre. J’avais du mal à accepter, moi, qui avait toujours était plus solide et insensible que lui, les événements qui s’était passé. La peur, la colère, la vengeance et le sentiment de pouvoir qui m’avait envahit lorsque ma mâchoire s’était refermé sur le corps flasque de mon persécuteur. Rien que le gout de son sang encore sur ma langue me donnait envie de rire…Et d’en boire encore plus jusqu'à satiété. Une réaction aussi inattendue que jouissive. Si forte qu’elle m’effrayait encore.
Il sentit mon hésitation et mon trouble. Il n’insista pas, d’autant que les blessures suppurantes qui nous recouvraient l’inquiété. A l’aspect elle avait au moins trois jours…Trois jours sans soin et sans avoir était nettoyées. En grimaçant, nous les avons nettoyés avec l’eau pure du ruisseau. Notre état n’était pas si dramatique que cela. La plupart des plaies n’était pas vraiment profonde. Les deux les plus inquiétante se situé sur le bord droit de notre mâchoire, la ou le couteau c’était planté profondément. La seconde était une brulure extrêmement douloureuse sur notre bras gauche. On s’en sortait mieux que je l’avais cru mais nous étions tout de même dans un état pitoyable. Sans force je m’adossais a un rocher. Nous mourrions de faim et nos blessures ne guériraient pas sans nourriture. Il fallait que nous retrouvions des forces avant d’envisager de nous reposer à nouveau. Sinon il est probable que jamais nous nous réveilleront. Et finir dévorer par un prédateur de passage n’était pas une perspective très ragoutante. Le problème c’est que nous étions par trop fatigués pour nous permettre de chasser correctement. Même pour se déplacer tout court.
Il y avait toujours le morceau du grand qui nous avait attaqué, cela ne faisait pas beaucoup mais avec ça nous pourrions tenir pendant un moment…Le temps de retrouver des forces pour chasser une proie plus conséquente… C’est ce que je lui dis, je n’eus pas a beaucoup insister, nous avions trop faim. S’il avait eut le choix, il aurait préféré manger n’importe quoi d’autre, je le sais. Il ne voulait plus jamais avoir affaire à ces infâmes bipèdes violents. Pour moi c’était radicalement différent, j’étais affamé, bien plus que lui, ma faim n’était pas seulement une faim de nourriture. J’avais faim de violence, de mort, de souffrance, j’avais faim de souffrance. J’avais était humilié, profondément. J’étais affamé de vengeance. Et le bout de chair nauséabond face a moi me semblait un bon début… Pas grand-chose par rapport à la rage qui battait en moi comme un tambour de guerre.
La chair me parut délicieuse, était ce son gout en soit qui me plut ? Ou était ce tout simplement le fait de dévorer quelqu’un qui m’avait blessé qui rendait cette nourriture si douce ? Je ne le savais pas et je n’en avais pas grand-chose à faire. Une fois la dernière bouchée avalée nous étions assez rassasier. Nous avions réussis à reprendre assez de force pour ne pas craindre les ténèbres éternelle dans notre sommeil.
Je me décidais à lui raconter ce qu’il s’était passé. Je n’omis aucun détail, du gout du sang sur ma langue a ma peur incontrôlable et passant par le sentiment de puissance qui m’avait envahit. A ma grande surprise il n’en fut pas choqué, pas même étonné. Un peu perplexe mais rien de plus. Il était plus fort que je l’avais cru. Il réfléchit un moment puis me laissa entendre que lui aussi n’avait pas apprécié les créatures. Et que, si j’étais a ce point déterminé à me venger, il mettrait ses craintes de cotés. Nous ne pouvions pas rester éternellement à l’abri de tout comme il l’avait cru. La solution la plus sure restait d’éliminer tout les ennemis avant qu’ils n’attaquent.
L’unique solution.
Avant de nous laisser aller a un sommeil réparateur, nous nous somme glissé dans notre abris le plus sur, les entrailles même de la terre, si profond que même les bipèdes ne pourrait prétendre venir nous chercher.