Shinobis no Ikigai
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 Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~

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Ryu Magatsu
~¤ Nuke-nin rang S |Amemakai no Shuhan | Admin ¤~
Ryu Magatsu


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MessageSujet: Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~   Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~ EmptyMar 21 Oct - 20:37

• Ton Personnage •

• Ton Nom :

Ryu


• Ton Prénom :

Magatsu


• Ton Âge :

20 ans peut-être plus qui sait ?


• Nindo (= But) :

Pouvoir invoquer tout les dragons


• Le Village que tu désires :

Aucun, SHizen


• Ton Physique (minimum 5-6 lignes):

En général, on arrive à reconnaître un ninja grâce à son bandeau indiquant son village, parfois sa tenue le dit de lui-même mais c’est tout de même plus rare. Bien souvent les déserteurs sont aussi durs à reconnaître, même si en général ils aiment tout aussi bien montrer leur bandeau rayé et le mettre en évidence. Mais pour ce qui est du cas de notre ninja, il est beaucoup plus dur de le savoir même si un ou plusieurs détail peuvent nous surprendre. Et oui, quand on le voit, on ne voit ni tenue caractéristique des ninjas, ni bandeau posé sur son front, dans ses cheveux, sur son bras ou que sais-je. Non rien de tout cela n’est dans la façon d’être vu de notre ninja. Vêtu totalement en noir quelque choix le temps ou le lieu, sa tenue vestimentaire est donc unique et comporte tout simplement, une paire de bottes, un pantalon assez souple mais pas large, une veste sans manche avec une légère fermeture éclair, des gants assez simple, s’arrêtant au poignet et aux articulations des doigts, mais aussi des lunettes de soleil qui ne le quittent jamais, il lui arrive même de les porter en pleine nuit, aller savoir pourquoi. En fait la raison est assez simple, il n’aime pas qu’on puisse voir ses yeux, et oui les yeux, souvent révélateur de nombreuses émotions, tristesse, haine, réflexions, nostalgie … Tout cela est souvent visible, et Magatsu n’aime pas qu’on puisse le savoir ( voir caractère pour de plus ample détails ) Bref, bien sur quand on voit passer notre ami, on ne voit pas que des vêtements noirs et non, on voit également une superbe et énorme épée, une épée se trouvant dans son dos, gentiment accroché à un « système » assez spécial, bref, vu la taille de l’épée c’est normal qu’il n’y est pas d’étui, on parle de la taille mais on le dis pas précisément. Donc pour tout dire, la lame doit faire dans les 1 mètres 10 tout au plus en fait on l’a jamais réellement mesuré, quand à la longueur , 45 centimètres tout au plus. Bref, légèrement incliné vers le sol et le manche du côté droit, cette disposition permet généralement à Magatsu de ne pas être gêné dans ses mouvements mais aussi d’avoir une meilleure prise et vitesse pour dégainer. Certains attendent le moment où je vais parler de son bandeau, et oui après tout il a fait parti d’un village, même si ce n’est que pendant un court moment, mais en fait, il cache soit son bandeau dans un lieu que seul lui connaît même s’il ne s’y rend jamais ou bien il le laisse sur lui dans sa veste à l’abris des regards curieux.
Bon il est évident que tout cela n’est pas finit, et oui le physique, le corps de notre ninja en lui-même n’est pas finit. Bien sur il faut une certaine taille et une certaine force pour manier cette épée, et oui commençons par là. D’un bon mètre 86 et d’un poids plus que normal, il ne possède pas de gros muscles tout beau tout gonflé comme certains, certes ses bras sont habitués à manier son sabre mais cela s’arrête là. Bref, tout alors on parlait de ses yeux qui montrait souvent certaines expressions mais avant de parler de cela, nous commencerons par le visage, ô visage au trait doux, un visage qui ne laisserait presque pas penser à un ninja, une certaine douceur, des traits fins en somme. Une chevelure assez longue coiffé en bataille prenant une teinte jaunâtre, une couleur qui va étrangement bien avec le bleu clair de ses yeux, une couleur si clair qui ferait pensé à l’eau d’une cascade, ou peut-être même un éclat de lumière incrusté dans l’iris du ninja. Bref on vous l’a déjà dis plus haut, ses yeux peuvent facilement montrer quelques sentiments, pourtant les rares fois ou certains les ont vus, ils ont pu voir principalement voir une certaine tristesse ou tout simplement nostalgie. Bref, en descendant un peu plus, surtout au niveau du coup, on peut remarquer un pendentif au bout d’une chaîne en argent assez indicateur de ce qu’est Magatsu. En effet un pentacle avec un dragon de chaque côté forme ce pendentif, les dragons sont un peu étrange, en effet, ils ressemblent à des dragons chinois mais avec une pair d’ailes. Enfin dans son dos se trouve un autre signe qui n’a été que très peu vu, un tatouage ou presque d’un dragon, un dragon ailé possédant quatre pattes contrairement à ceux du pendentif, un dragon européens en soit.
Enfin dernier point qui ne reste qu’en fait les habitudes de Magatsu, il faut savoir en fait qu’il ne rigole que très peu, on peut même dire que ses sourires ont remplacés tout rires possibles, sinon on le voit souvent marcher simplement mains dans les poches ou en train d’attendre les bras croisés et pourquoi pas adosser à un mur. Sinon quand il voyage à dos de dragon, il peut être assis, debout ou parfois allonger même si c’est très rare, enfin voilà, ici s’achève la description physique de notre ninja qui ne semble pas un être un


• Ton Caractère (minimum 5-6 lignes):


Comme la plupart des humains, homme, femme, enfant, vieillard, animal ou tout être vivant, on peut savoir que leur pensées, leur façon d’être est souvent complexe et indéchiffrable, même quand on croit connaître tel personne, on se rend compte qu’on était en fait loin de la vérité, mais arrêtons la généralité et faisons au moins un cas précis, mais retenez juste que même si je dis cela, il se peut que je sois encore loin de la vraie nature de ce qu’est Magatsu, il lui restera toujours des facette cachée que ni moi ni personne ne pourront découvrir, mais alors il vous faudra au moins retenir ce qui va suivre :
Tout d’abord, il faut savoir qu’il est d’une nature on ne peut plus calme, et oui, toujours garder son sang froid est pour lui une chose naturelle. Toujours réfléchir en fonction du moment, à chaque situation une analyse, une réflexion, savoir ce qu’il y a à savoir pour mieux tirer à profit, Magatsu est comme ça, il ne foncera jamais tête baissée, oh ça non, une stratégie doit être toujours élaborer avant de foncer dans le tas, pour lui c’est tout simplement évident. Son calme se ressent bien souvent, un ordre de mission d’urgence, il ne se pressera pas et réfléchira d’or et déjà à une analyse de la situation, la marche est d’ailleurs pour lui le meilleur moyen de déplacement, et oui il aime marcher, bien souvent en marchant il peut observer le paysage, penser et tout autre chose. Même si le temps est compter il ne coura pas, mais n’allez pas le traiter de ramolli, oh ça non, ce serait une bien grosse erreur. En parlant de penser, il faut savoir que Magatsu pense souvent, et peut-être même trop souvent, on arrive même à se demander si oui ou non ce n’est pas plus un défaut qu’une qualité. Mais bon, penser est tout aussi important que de garder son calme, mais à quoi peut-il penser si souvent, en fait il pense à diverses choses, son passé, son avenir, son présent et tout le reste mais on pourrait en dire bien plus long sur ce point.
En parlant de son passé, on est mené vers encore autre chose, je ne vous dirais non pas son histoire mais juste le résultat de celui-ci, en cause de son passé assez douloureux vous le comprendrez dans l’histoire, il ne rigole presque jamais, rares sont les rires qui sortent de sa bouche, en fait on en vient à croire que les sourires ont remplacés les rires possibles, et oui, bien qu’il ne rit jamais, il sourit souvent, pour un combat, pour une pensée divers, à un moment quelconque et tout autre situation où on ne pouvait pas imaginer un sourire. Mais saviez-vous qu’un sourire pouvait parfois en dire beaucoup, et oui, aucun n’est réellement forcé mais beaucoup ont une signification différente, après ce n’est qu’à vous de les trouver, je vous le dis déjà, le plus fréquents sont ceux qui montre une certaine nostalgie ou juste un sourire qui remplace un rire, après à vous de voir dans le moment présent.
Comme vous avez pu le lire, on a aussi parler d’une certaine nostalgie, on avait parler de son histoire, vous saurez tout pourtant cette nostalgie rapporte à un certain point de son histoire que vous découvrirez, je peux seulement vous dire, qu’au cours de sa vie aussi longue qu’elle soit ( vous n’imaginez pas à quel point ) il a vu de nombreuse choses qu’on aurait aimé ne pas voir. Bien sur il à un esprit assez dur donc il tient le choc et puis ce n’est pas une grande tragédie, bref, mais avec tout cela, il en est venu à apprécier la nature, observer pendant des heures l’écoulement de l’eau d’une cascade, la teinte que prend un lac lors d’un coucher de soleil, le paisible sentiments dans des montagnes … Ces spectacles de la nature, lui offrent un sentiment de repos, de paix et de calme, choses qu’il recherche le plus possible. D’ailleurs en parlant de tout ça, on en vient presque à se demander s’il aime se battre, et bien ceux qui se posent cette question ont raison, en vérité, Magatsu évite le plus possible le combat, il erre dans les plaines, les collines et tout le reste en recherchant juste une vie paisible, il déteste presque le combat, pourtant quand il le faut, il le fait et ne laisse pas son adversaire s’en sortir comme ça.
Enfin, on ne peut parler de lui sans parler de ses motivations ou de ses principes qui l’accompagnent chaque jours, on pourrait penser que tout ça sort directement d’un livre chevaleresque ou d’un livre bon pour éduquer les bon petits bourgeois, pourtant il faut le savoir si on ne veut pas louper des points important sur sa nature, mais pour éviter de trop vous ennuyer pour cette lecture, nous vous laisserons les découvrir après tout ce n’est surement rien d’autre qu’une facette cachée de notre ninja, une facette qui aime se révélé de temps en temps …

||x|| - ||x|| - ||x|| - ||x|| - ||x|| - ||x||


• Toi •



• Comment tu t'appelles ?

MSn et tu saura Very Happy


• Comment as-tu connu le Fofow' ?

La petite fondatrice adorée =)


• Comment trouves-tu le Fofow' ?

Hu hu la question se pose pas


• Et enfin....Tadadadadadadada...Ta première impression des admins ? (Question Bonus U.U On est formidable et on le sait )

Sont nulllll moi le premier *sbaff*


Dernière édition par Ryu Magatsu le Mer 12 Nov - 1:09, édité 2 fois
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Ryu Magatsu
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Ryu Magatsu


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MessageSujet: Re: Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~   Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~ EmptyMar 21 Oct - 20:39

• Ton Histoire (minimum 15 lignes):


Comme tout les histoires, cette histoire raconte la vie d’un homme qui fut né en ce monde, mais la vie ne s’arrête pas qu’à sa propre existence, alors à quoi peut-on penser d’autre ? Pour ma part j’ai tout d’abord pensé à l’histoire de sa famille, et oui, en vérité souvent elle n’a que peu de choses à voir avec sa propre histoire, pourtant dans ce cas présent, elle a son importance, il est donc important que vous la connaissiez, et donc que je vous la raconte, alors soyez attentif car la voici :

Tout cela remonte à bien des années, peut-être même deux ou trois siècles, à vrai dire on ne sait pas exactement le moment, mais voilà ce que l’on raconte de génération en génération dans la famille Ryu : On raconte qu’à la base, cinq enfants naquirent dans la même famille en tant que frère et sœur, leur parents étaient de simple ninja qui ne faisait parti d’aucun grand village ou pays de l’époque, en fait ils se trouvaient dans un coin presque inconnu de tous afin d’être tranquille. Bref, dès leur plus jeune âge, du moins quand ils furent en état de les avoir, les cinq enfants eurent un rouleau d’invocations pour sceller un pacte avec les dragons, bien entendu ce n’était pas du tout acquis, non ce ne déroulait pas comme ça, encore heureux, même si leur parents avaient toute confiance en eux il fallait être certains qu’ils en soient dignes. Et pour tester ce point, le père cacha les rouleaux dans cinq endroit différents, voulant prévoir un avenir pour ses enfants, il envoya chaque rouleau caché près du village principal de chaque pays, même s’il se développait doucement, cinq rouleau et donc cinq villages, mais vous vous en doutez, ces cinq rouleaux permettaient un pacte avec les dragons mais chacun d’affinités différentes, le feu, l’eau, le vent, la terre et la foudre. Les cinq enfants étaient donc dispersés dans les cinq pays respectif, pourquoi leur parents avaient-ils décidé cela ? En fait on ne l’a jamais su, peut-être pour leur propre bien ….

Les temps passèrent peu à peu et voilà que malgré le fait qu’ils soient dispersés, les Ryu semblaient avoir toujours de bonne relations, un peu trop d’ailleurs pour une autre famille, un clan rival ? Et bien oui, mais pourquoi ? La jalousie était surement la meilleure réponse, mais le plus important n’était pas pourquoi elle leur était rival ou autre, le plus important est ce qu’ils ont fait, un mot résume le tout : malédiction. Et oui, le clan rival décida de maudire le clan Ryu, une malédiction assez bizarre mais mortel, en effet, les membres mourraient très jeunes de leur maladies, maladie venant sans aucune réelle explication. Cela dura des générations, pour être précis, cela dura 100 générations, sentant bien ce qui leur arrivait, les descendants de la famille décidèrent de se réunir. Tous furent présent sauf un, le propriétaire des dragons de foudre, on n’avait eu aucune nouvelles de lui, il n’était pas mort mais à vrai dire on le connaissait pour son sale caractère et il aimait la solitude, autant dire que tout le monde savait qu’il ne viendrait pas. Mais pourtant plus tard on apprit qu’il avait caché le rouleau dans un endroit secret que seul un parchemin indiquait, encore fallait-il le trouver …. Bref, au cours de cette réunion, on décida de laisser les quatre rouleaux à l’enfant qui devait naître dans pas longtemps avec pour charge de redonner un nom à la famille Ryu et le préserver longtemps …

Mais alors qui était cet enfant tant attendu ? Vous devez vous en douter, l’enfant qui naquit en un jour presque tragique fut Magatsu, il semblait être un beau bébé et semblait avoir un lourd destin, mis pourtant toute la famille ou presque comptait sur lui, le dernier Ryu, du moins jusqu’à qu’il assure une descendance mais était-ce possible ? Pourtant ce n’est que peu de temps après qu’on apprit que la malédiction lancée avait un revers ou du moins une contradiction très bizarre, en effet, tandis que ses ancêtres étaient morts jeunes, lui ne pourrait pas mourir de vieillesse, comment cela se faisait-il ? Le dernier du clan rival étant mort, on ne pouvait rien savoir. Mais pourtant, Magatsu s’en fichait, ce n’était qu’un simple détail, pour lui vivre au jour le jour comptait le plus alors pourquoi se préoccuper de demain ? Il vivait sa vie comme il l’entendait, mais étant dans aucun village, il ne pouvait s’amuser avec d’autre enfant de son âge, oui ses parents, et son oncle avaient décidé de rester dans un endroit que peu de personne connaissait, pourquoi cet exil ? Ils pensaient que c’était le mieux pour Magatsu, vivre loin de tout lui permettrait un meilleur entraînement. Les heures de méditation sous l’eau d’une cascade avoisinant leur maison étaient nombreuses, il s’entraînait beaucoup sur l’esprit et les invocations, pourquoi sur rien d’autre ? Car il n’en avait pas besoin, sa technique allait reposer sur l’invocation de dragon. Il atteignait alors la quinzaine d’année quand il apprit à invoquer des dragons mineur, le feu, l’eau, le vent et la terre, il y arrivait facilement, mais que des mineurs, des petits dragon, même s’ils étaient souvent sympathiques et agréables, son père n’était pas vraiment content, tout comme son oncle. Il atteignait l’âge des seize ans quand sa mère mourut dans la nuit, dut à sa maladie comme tout les Ryu, Magatsu resta marquer pendant de long mois, son père et son oncle devaient le pousser à fond pour qu’il oublie cela et repasse à l’entraînement. Ce ne fut qu’après un an qu’il y arriva, et tout reparti comme avant, enfin presque. Le seul problème quand on invoque est le fait de sceller un pacte avec le sang, cela dérangeait beaucoup la famille Ryu, les deux survivants adultes eu alors une idée, après de longue soirées passés dans un endroit caché et secret, ils revinrent avec un médaillon, il formait un pentacle avec deux dragons sur les côtés, en le regardant attentivement, les deux dragons semblaient légèrement différent, on pouvait remarquer cette différence qu’en regardant de près. Son père lui apprit que cela allait l’aider dans l’invocation, mais comment ? Chaque pointe du pentacle représentait une affinité, en se laissant une goutte de sang sur deux extrémités, il pourrait alors invoquer un autre dragon, mais cela était pour bien plus tard, sa maîtrise d’invocation était bien loin d’être parfaite. Son père mourut à son tour la nuit suivante, il ne restait plus que son oncle et lui. Bientôt il ne serait que lui et pour longtemps, il le savait, et même si tout au cours de son enfance il n’y pensait pas ou presque pas, toute les questions commençaient à venir maintenant. Que ferait-il une fois seul, il se le demandait, il avait toujours eu peur de les décevoir, malgré le fait que son oncle lui dise bien souvent le contraire. Après encore un an passé à l’entraînement avec son oncle, après de nombreuses heures de méditation, de combat d’entraînement pour son taijutsu, de conseils concernant les invocations mais aussi d’histoire sur sa famille, Magatsu vit son oncle mourir tuer par des ninjas de Konoha, on l’avait tuer alors qu’il était aller à Konoga, village le plus proche de là où ils se trouvaient, pour chercher de quoi manger un peu mieux. La raison lui reste encore inconnu, mais il était certains que le village de la feuille lui devait des explications …

Il se rendit donc au village de la feuille, il passa rapidement les portes du village indiquant seulement qu’il venait juste visiter, les gardes étaient presque des feignasses, passer les protes avait été plus que facile. Magatsu s’était donc diriger directement vers le bureau de l’Hokage, pourquoi lui ? Simplement cas il se doutait qu’il le savait, si lui ne savait pas alors qui savait à part les propres tueur ? Apparemment le chef de village ne savait rien, dans aucun rapport de mission, un assassinat n’avait été signalé, résultat, aucune information supplémentaire. Magatsu était reparti de la tour perdu dans ses pensées pour trouver les tueurs, il le savait, c’était des ninjas de Konoha mais alors pourquoi rien n’était noté ? Et si ce n’était pas au cours d’une mission ? Si ce n’était que dans la rue ? Il fallait qu’il cherche sur cette piste, c’était peut-être la seule chose qui lui restait. Après de longues heures, il trouva finalement le responsable, …. ~~> test rp pour le développement <~~ Il avait finalement put venger la mort de son oncle, il se retrouvait donc le seul Ryu, seul capable de faire perdurer la lignée de son clan.

Étant donné qu’il avait tuer des ninjas de Konoha, il se devait d’éviter d’approcher ce village, mais alors où aller ? Il n’en savait trop rien, en fait il n’avait même pas l’envie de se joindre à un village. L’errance avait toujours fait partie de a vie, et même de certains membre de sa famille, voyager de village en village, n’être au service que de ses propres envies, il aimait cela, cette liberté il voulait la conserver, alors or de question qu’il aille dans un quelconque village … Après des heures de marches au hasard ou presque, il se retrouva à Suna, il était alors vêtu d’une cape assez sale pour se cacher, pourquoi donc ? Il voulait simplement rester inaperçu, bien sur c’était une simple cape comme toute les autre, avec une capuche qui lui recouvrait le visage et il continuait de la porter malgré la chaleur. I ne resta que peu de temps dans ce village, pourquoi ? Car à peine arrivé il effectua un vol, et oui un vol, mais que vola-t-il ? ( volatile xD ) Un parchemin, et oui puéril n’est-ce pas ? Se mettre un village à dos pour un parchemin, mais en fait pas si puéril que ça, car ce n’était pas un parchemin, oh non. C’était ce fameux parchemin du cinquième fils, celui qui avait apprit à invoquer les dragons de foudre. Il avait prit beaucoup de risque mais ne les regrettait pas, c’état bien plus important que tout ce qu’il pouvait y avoir. Il avait donc fuit le village, mais malheureusement pour lui, deux ninjas l’avait poursuivit, deux ninja qui eurent beaucoup de chance de revoir leur village, Magatsu les avait blesser pour qu’ils ne puissent plus le suivre, leur laissant la chance de rentrer vivant, malheureusement ils avaient été attaqué par d’autre ninja, mais ça n’était plus le problème du ninja.

Il était parti donc en suivant la carte que contenait le parchemin, une carte cryptée, il fallu d’ailleurs beaucoup de temps à Magatsu pour réussir à déchiffrer ce parchemin, mais le résultat était là, une carte et d’autre information sur sa famille, une chose d’une grande valeur pour lui. Bref, il était donc parti chercher ce qui lui revenait de droit, en somme le dernier rouleau des dragons. Il y arriva sans trop de peine, après avoir vu d’autre sceau de son clan et d’autre merveilles en tout genre. Il scella donc le pacte et se préparait à en invoquer un, le plus puissant de foudre, mais avant il devait se préparer. Il s’y prépara et réussi finalement à imposer au dragon sa présence et son respect, mais bon, on ne soumet pas un tel dragon si facilement, Magatsu était épuisé et savait qu’à chaque invocation il devrait forcer pour avoir son aide. Les premières fois, il n’avait même pas réussi et avait du se débrouiller seul. Il lui fallait au final de nombreux combats pour finalement arriver à forcer le dragon à combattre, il fallait dire qu’il avait mauvais caractère, très mauvais caractère.

Pendant une dizaine d’années, Magatsu errait sans vraiment de but, il ne vieillissait pas et cela se voyait, il avait garder son visage depuis ses dix ans, il semblait avoir la vingtaine pas plus, cela ne le dérangeait pas forcément, mais il paraissait tel un maudit errant sur Terre en recherche de la paix. Il se battait de temps en temps mais évitait les affrontements le plus possibles. Une cinquantaine d’années étaient alors passé quand un autre tournant se fit ressentir tout cela se passa proche de Kiri. Il avait apprit dans le parchemin, dix ans auparavant, qu’une épée existait, une épée hors du commun, elle permettait à son possesseur d’augmenter ses invocations, avoir plus de choix, plus de puissance et de vitesse. Magatsu avait donc décidé d’aller à Kiri pour la chercher, mais cela n’était pas aussi simple et il le savait. Il utilisa alors de diversion et de stratégie pour finalement avoir cette épée, une épée large et lourde mais remplit de puissance, mais ce n’était pas la seule surprise qu’il eut. Il rencontra là-bas une fille bien différente des autres, son nom ? Somemaru. Il eut bien du mal à lui parler mais avait finalement réussit après des heures à l’observer depuis des toits ou autre lieu d’observation. Il apprit alors ses envies, son caractère et beaucoup d’autre chose sur elle, finalement il décidèrent de rester ensemble. Pour Magatsu, ce n’était pas tellement dur comme vie, il continuait d’errer mais il n’était plus seul, il combattait toujours aussi peu, il n’avait toujours aucun but alors il se fichait de pas mal de chose. Mais il avait un but, même si cela n’intervenait pas vraiment, il voulait simplement réussir à maîtriser les derniers dragons qu’il avait entrevu, ceux de ténèbres et de lumière, dragon bien plus puissant que les autres, ils ont une faculté assez spécial, les dragons de lumières refusaient de combattre si ce n’était pas pour une noble cause mais apparaissait quand il était sur le point de mourir, quant aux dragons des ténèbres, ils ne combattaient que pour leur simple plaisir et apparaissaient quand il en avait envie, pour justement un combat. Mais une chose avait été remarqué, lors de leur apparition, un dragon du médaillon de Magatsu s’illuminait, le dragon de droite représentait les dragons de lumière et la gauche ceux des ténèbres. Cela était encore bien difficile pour Magatsu, mais il savait qu’un jour il réussirait, même si cela devait prendre des siècles, après tout il avait le temps …

• Test-Rp :


A venir
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Ryu Magatsu
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MessageSujet: Re: Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~   Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~ EmptySam 25 Oct - 23:52

Test Rp :

Voila le test rp Razz bon pas commun je l'avoue

Dans un village éloigné de tous, un village comme tout les autres, un village qui avait néanmoins une différence, celle d’avoir de nombreux fiers et courageux combattants dont la puissance avait plus d’une fois prouvé. Dans ce village, tous vivaient paisiblement, chacun vivait comme il le voulait, les hommes ainsi que les adolescents s’entraînaient au corps à corps, essayant de maîtriser une arme à la perfection car oui, à l’âge de 15 ans, chaque homme ( qui n’en était pas encore un u_u ) choisissait une arme, une arme qui le suivrait tout au long de sa vie, nom pas une arme précise, mais une arme telle que l’épée, la lance, la hache, l’arc, le bâton et tout ce qui pouvait servir d’autre au cours d’un combat. Bien sur il n’existait pas qu’un seul type d’arme pour chaque « style » de combat, des lames droites, courbes, inversées, des doubles lames … tout ce qui était bon pour combattre, car en réalité ce village était un village indépendant et certains le redoutait mais d’autre le convoitait … Chacun devait donc assuré la défense de ce si doux village au péril de sa vie, et on peut le dire, cette volonté était présente dès la naissance.

Pourquoi vous parlez de ce village ? Mise à part ses fiers guerriers ? Il n’y avait rien d’autre, mais ce n’était qu’un village parmi tant d’autre dans ce monde divisé un deux par une guerre qui ne faisait que trop duré. Une guerre pour un pouvoir total, autant dire une futilité aux yeux d’Arthur, mais qui était cet Arthur ? Non ce n’était pas un pèlerin parcourant le monde en notant tout ce qu’il découvrait dans des manuscrit, non il n’était pas un soldat parcourant les plaines à la suite d’un ordre quelconque, il n’était qu’un simple enfant, oui certains diront donc qu’il était trop jeune pour savoir exactement le sens de la vie et la « culture « des plus anciens ( sa fait un peu vieux dit comme ça >.> ) mais pourtant tous le diront, Arthur avait un grand esprit et était bien plus sage que certains et avait une grande connaissance, pourtant, il avait beau être un élève sérieux et ouvert posant des questions bien intéressante, certaines ne l’aimait pas et certains le considérait même comme un détritus pour le village. En effet, il n’était pas très doué pour les combats, en même temps il n’avait alors que 8 ans quand on le considérait encore comme une simple fillette sans aucune force. Plus d’une fois il s’était senti rejeté, mal aimé mais pourtant il n’avait versé aucune larmes, se moquant presque des pensées d’autrui et restant dans la solitude puisqu’il semblait gêné les autres, une autre preuve de son calme habituel et de sa sagesse.

Certains pourrait penser que ce village n’était fait que de barbare qui tapaient sur tout le monde, mais pourtant c’état faux, dans ce village se trouvaient quelques personnes non combattantes qui s’occupaient de la culture générale, des valeurs, des principes de la vie et tout le reste, même si beaucoup ne suivait ce qu’ils voulaient, enfin bref. Cela faisait maintenant 9 ans que Arthur menait cette vie, une vie presque de sage à la recherche de la vérité sur le monde. Il aimait cette vie et ne s’en déplaisait pas, dans aucun cas il ne la regrettait pas et ne se plaignait jamais. Même si parents se demandaient pourquoi leur fils était plus un « sage » qu’un combattant, mais même s’ils se le demandaient, ils ne le repoussaient pas et l’acceptaient aussi bien que son frère qui lui était un as dans le combat aux couteaux. Arthur admirait d’un certains côté son frère, lui qui était si brillant, lui si courageux et brave, un combattant hors pair qui était l’un des meilleurs combattants du village. Tous le voyait comme l’un des 5 chefs de guerre, ces chefs de guerre qui décidaient quand ils devraient aider des peuples et village, mais aussi par quels moyens ils devaient combattre et gérer le village, en clair, c’étaient les personnes les plus importantes. Arthur était content pour son frère, lui qui était parfois si dur avec lui mais pourtant parfois si gentil …. Longtemps il avait espérer être comme lui, jusqu’au jour où on lui dit qu’en réalité, il était aussi bon que lui mais dans une autre capacité, son frère la force, lui la réflexion ….

Ses choses se passaient ainsi lorsqu’un jour, une armée assez folle pour vouloir attaquer le village arriva non loin de ce village, l’encerclant. Une armée bien plus importante que cela n’y paraissait pas loin de deux milliers d’hommes face à ce village qui n’en comptait que quelques centaines et encore la moitié était des femmes ou des jeunes enfants encore incapables de se battre. Malgré tout, chaque combattant se préparait à l’affrontement, revêtant leur plus belles armures pour certains et leur équipement pour d’autre et même leur plus belles arme, une arme qui n’avaient que peu voire jamais utilisé. Le village n’était pas envahi par la peur, mais par une volonté de combattre immense, prêt à tout donné prêt à subir chaque assaut de leurs adversaires, ils étaient prêts.
L’armée d’en face, elle, composée des meilleurs fantassins, archers, cavalier, composée également de catapulte et d’arbalète géante, des engins d’assaut prêt à tout détruire sur leur passage. Des armures rouges sanglantes, des casques recouvrant tout sauf les yeux et la bouche, des épées à la ceintures ou un carquois au niveau du dos, tous étaient prêt à exterminer ce village. Mais d’où venait cette armée composée de tant de soldat ? La réponse était claire, l’un des seigneurs des deux royaumes qui s’opposaient depuis trop longtemps. Et grâce à ce drapeau, cet étendard qui représentait très bien ce royaume, le village savait déjà qui était l’auteur de cette attaque : le surnommé Dante, roi de Rivendhel, royaume dont les hommes portaient des armures rouges, occupant principalement le sud du monde. Les deux armées s’observaient, l’armée confiantes de leur surnombre d’un côté et les combattants confiant de leur maîtrise de leur arme et de leur bravoure. Les deux camps s’observaient un moment, la tension était là et ne tarderait pas à diminuer dans un bain de sang.


Un silence pesait, un trop long silence qui faisait monter le stress dans les rangs de l’armée et la sueur perlait sur le front. C’était sous un dur soleil d’été que le combat allait se passer, et malgré les quelques bourrasques d’air frais, la chaleur restait dur à supporter pour certains. Le vent faisait claquer les étendards et parcourait la plaine dans laquelle se trouvait le village, une plaine suivie d’une haute falaise donnant sur une montagne. Cet attente semblait trop longue pour les combattants, pourtant cela ne faisait que quelques secondes, voire quelques minutes peut-être que cela se déroulait. Les combattants du village crièrent, faisant remonter leur moral et leur bravoure ils chantèrent, une légère « hymne » qui faisait regagner la confiance dans le cœur de chacun, le moindre doute partait des esprit et tous attendait cette armée bravement accompagné de leur hache, sabre, lance et autre armes. L’armée d’en face, ne put que frapper leur bouclier avec leur lance, ça oui, chaque fantassins était équipé d’une lance et d’un glaive. Le fracas du bois résonnait dans la plaine, mais pourtant aucune crainte ne se sentait.

Un ordre fut donné du côté des fantassins et une première ligne suivie rapidement d’une deuxième se lança à l’assaut. Des cri sortaient de la gorge des fantassins passant à l’assaut et courant la distance qui les séparait. Quelques derniers petits conseils sortaient de la bouche des villageois et aussitôt une formation se dessina. Lanciers en première ligne, ceux qui possédait une hache derrière, les épéistes ou sabreurs juste derrière et enfin les autres, ayant couteaux, bâton .. Juste devant les archers qui commençaient déjà à tirer prenant non pas une flèches mais trois pour certain et cinq pour d’autre faisant alors bien plus de dégâts dans les rangs ennemis. Dès alors, les deux premières ennemis étaient bien moins nombreuses et il ne leur fallu que peu de temps pour laisser leur corps sans vie gisant sur le sol. Une seconde vague arriva et elle finit alors comme la première, celle-ci suivit d’une pluie de flèche qui finalement n’eut aucun effet et ne rencontra que des boucliers. Vint ensuite une horde de cavaliers, qui finalement ne put que faire que quelques morts dans les rangs des villageois qui au final s’étaient très bien sorti de cet assaut. D’autre lignes de fantassins arrivaient les unes après les autres toujours plus nombreuses, mais toutes semblaient ne donné aucun résultat. Mais voilà donc que soudainement l’ennemi se pris la peine d’utiliser leur catapulte et arbalètes géantes. Cette fois-ci, la difficulté était plus grand, éviter ces pierres et ces flèches géantes destructrices, cela était encore faisable, mais pas quand des soldats arrivaient en même temps en étant kamikazes ….. De nombreuses pertes se firent ressentir dans cet assaut ravageur. Des corps écrasés, pourfendus, décapités, transpercer ….. L’assaut semblait finalement s’arrêter un moment.

Les combattant décidèrent d’aller à l’assaut pour détruire ces machines infernales, fonçant dans le tas, ne se préoccupant que des adversaires juste devant eux, il parvinrent à réduire tout ces catapultes à néant et même la moitié du reste des soldats. Mais dans cette armée ennemi, que restait-il ? Quelques officiers supérieurs et quelques soldats …. Face à cet troupe restant de guerriers sans peur apparente, ils ne purent faire que trembler ayant peur de la mort qui ne tarderait pas à mourir. La victoire semblait bien appartenir aux villageois, un exploit venait de se faire et la légendaire réputation continuait, une vaillance au combat d’une grandeur inégalé. Mais alors que tout semblait perdu pour les survivants de l’armée attaquante, un cor résonna, fort bien ressemblant à celui du royaume d’Étendhel une armée généralement en bleu foncé, un bleu pouvant presque représenter la nuit. Une armée composé principalement composé de lancier, du moins à ce que semblait voir le reste des deux autres armées. Les villageois décidèrent de rentrer aux villages, devant cette immense armée, bien plus importante que celle de Rivendhel, il ne pouvait pas faire grand chose et ils le savaient bien, c’est donc, non pas poussé par la peur mais poussé par la survie et par l’intelligence qu’ils rentrèrent aux village en courant. Une fois arrivé il demandait à tous de fuir, fuir cette armée encore plus barbare que la première, cette armée contrairement à la première, n’aurait pas hésité à réduire en esclavage tout les habitants même les plus jeunes. Mais l’armée déjà sur eux, les arrêtait tous, coupant même une jambes s’il le fallait, seul un villageois put s’en réchapper, non ce n’était pas Arthur mais son frère. Arthur lui était parti du village faire un tour derrière la falaise, loin dans le chemin rocheux allant vers les montagnes, sauf un petit chemin secret donnant sur un lac, endroit où était aller Arthur.

Arthur, seul adolescent sorti du village pour méditer et rester loin de tous était en train de revenir après de longue heure assis devant le lac à ne rien faire, lui qui rentrait tranquillement au village presque joyeusement, vit son frère en sang sur le bord du chemin, les yeux fermés et tenant fermement son couteau, le seul couteau qu’il avait pu garder dans cet fuite afin de prévenir son jeune frère qui n’avait encore que 9 ans et demi. Arthur se précipita sur lui dès qu’il le reconnu demandant ce qu’il s’était passé et pourquoi il était dans cet état. Son frère le voyant eut d’abord un sourire puis finit par dire difficilement :


Tu était donc là … Le village a été détruit, tu es le dernier survivant.


Arthur n’en croyait pas ses oreilles, ce village pourtant si paisible et neutre, détruit, il ne pouvait demander par qui, il s’en doutait déjà si ce n’était pas l’une c’était l’autre armée, des larmes coulèrent doucement, tous étaient mort, son père, sa mère, ses « amis » ses jeunes adolescent du même âge que lui, sa voisine, son chien !! *sbaff* mais pourquoi avait-il dernier survivant, son frère était lui. Il le lui dit d’ailleurs mais son frère l’attrapa le col et le rapprocha de lui après avoir recracher un peu de sang, un air beaucoup moins gentil s’affichait sur son visage, on pouvait presque croire qu’il était énervé et qu’il en voulait à son frère :

Ne sois pas bête, je vais bientôt mourir. Pourquoi n’es-tu pas devenu un combattant comme tout le monde ? Pourquoi as-tu préféré être un de ses sages qui préfère observer le monde ?


Arthur ne put qu’être surpris face à ce que venais de dire son frère, son frère aîné, plus vieux que lui de sept ans, ces sept ans qui avait fait toute la différence entre eux. Le jeune frère ne put s’empêcher de laisser quelques autres larmes pleurer, pour la première de a vie il pleurait, devant le corps mourrant de son frère et sachant la fin de son village, voilà les conditions dans lesquels il pleurait. Son frère recracha un peu de sang et pousser à nouveau pas un agacement, il continua en lui disant :

Arrête de chialer ! Tu dois vivre et garder la fierté et la bravoure de tout notre village. Vit et porte ce fardeau de perpétuer la légende de notre village, que cette cicatrice soit la preuve de ton fardeau.

Aussitôt, il leva sa main droite et avec son couteau, fit une profonde entaille dans la joue d’Arthur, une blessure qui allait laisser une cicatrice à vie sur la joue du jeune survivant, maintenant on pouvait le surnommer ainsi car son frère venait de rendre son dernier soupir. Arthur s’abattit sur le corps sans vie de son frère explosant en larme et restant ainsi de longues minutes. Il avait tout perdu, sa famille, les personnes importantes de son village et même ses amis car lui les considérait ainsi. Malheureusement il ne put tarder plus longtemps car quelques soldats avaient vu fuir son frère et semblait vouloir le retrouver. Arthur prit le couteau et parti vers les montagnes, larmes aux yeux et totalement effondrés par la solitude qui venait à peine de commencer ….
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Ryu Magatsu
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MessageSujet: Re: Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~   Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~ EmptyDim 26 Oct - 0:02

Arthur marchait donc sur le chemin rocailleux menant vers les montagnes enneigés menant à une petite ville en marchant un peu, un peu beaucoup même, quelques kilomètre tout au plus, en fait il n’en savait rien, il n’était jamais aller par là-bas, trop jeune et sans expérience pour les montagnes. Mais cette fois il n’avait pas le choix, les montagnes ou quelques milliers de soldat tout armé et prêt à tuer le jeune survivant. Un choix pas difficile à faire même si la montagne était un dur chemin, il avait au moins une chance de survivre. Il marchait donc doucement, recouvrant sa plaie à l’aide de sa main gauche et tenant le couteau de sa main droite, il était sur ses gardes et observait le moindre mouvement aux alentours, il n’avait jamais été par ici et était dans l’inconnu total. Il longeait un petit chemin rocailleux et peu emprunté, très peu même, les parois étaient grandes et semblait être prête à ensevelir Arthur à tout moment, devant lui, le chemin menant lentement à la montage, derrière lui, un chemin semblable à celui de devant mais menant au corps sans vie de son frère.

Au bout de deux longues heures de marches et de surveillance constante, il arriva à ce que l’on pouvait nommer le pieds de la montagne. La neige commença alors à tomber doucement ( hasard ? ) et un vent bien froid se levait faisant frissonner Arthur. Il n’avait qu’une simple veste et avait peur qu’il meurt de froid, mais bon il n’avait pas le choix. Il avança donc, suivant un petit chemin, si petit qu’une seule personne pouvait passé à la fois, un chemin étroit obligatoire et prêt à s’écrouler sous les pieds de voyageurs. Le rescapé marchait en en regardant que là où il mettait les pieds, essayant de se redonner du courage en chantant un petit air de famille, une chanson qu’il avait souvent entendu, cette chanson que sa mère lui chantait lorsqu’il était petit. Cela lui ramenait des souvenirs et par la même occasions quelques larmes qui semblaient rapidement se refroidir, il les essuya avant de se tenir les bras essayant de se réchauffer un peu. Les heures passaient et il trouva finalement une petite grotte, un tout petit endroit où il pouvait s’abriter le temps de dormir un peu. Il y trouva un peu de bois sec et puis donc faire un petit feu pour d’une se réchauffer et éloigner les bêtes de la nuit. Il s’endormit donc assez rapidement et dormi d’une nuit difficile repensant aux évènements de la journée.

Il se réveilla finalement le matin lorsqu’il entendit des bruits de pas, était-ce un soldat de l’armée responsable de la destruction de son village ? Non il n’y avait aucun bruit d’armure ni d’arme. Il se mit en garde, non combattant il tenait mal son couteau et cela se voyait, un homme se dessina sur la lumière, un colporteur, qui vendait de tout. Ils parlèrent un peu, Arthur appris que ce colporteur allait vers son village mais vu qu’il n’existait plus il prendrait un autre chemin, il venait de traverser les montagnes et apprit beaucoup de choses à Arthur. Il lui proposa de prendre une fourrure pour passé les montagnes, sachant le vécu de l’enfant il ne lui fit pas payer, même par ce couteau. Une longue heure après le jeune rescapé se remit en route fourrure sur le dos et prêt à traverser ces montagnes enneigés. Il marchait donc et voyait la neige lui arriver jusqu’aux cuisses, il était bien dur de marcher, mais pourtant il ne perdait pas espoir, il avançait tant bien que mal dans cette neige si froide.

Il se passa tellement de temps, ces montagnes étaient bien grandes et les chemins empruntés étaient si long et semblaient presque tournés en rond, voilà maintenant 6 mois qu’il tournait dans ces montagnes, il avait déjà affronté un loup et rien d’autre, il avait eu de la chance d’avoir ce couteau qu’il avait malheureusement perdu … Il l’avait perdu lorsqu’il se faufilait sur un sentier peu rassurant et encore plus étroit que les précédents. Donc heureusement pour lui qu’il n’avait pas rencontré d’autre bêtes sauvages. Il avait repéré déjà quelques grottes mais n’avait rien mangé depuis une bonne semaine, depuis le moment où il avait perdu son couteau en fait … Et depuis maintenant deux jours, un violent blizzard occupait le sommet des montagnes et la fourrure du jeune errant n’avait presque plus d’effet … Il marchait donc dans la neige essayant tant bien que mal de trouver son chemin parmi ce vent violent et cette neige gelé. Exténuer il finit par s’écrouler dans la neige, épuiser et mort de faim, il n’en pouvait plus et savait qu’il allait mourir, mais un souvenir lui remonta à la tête, son village, cette cicatrice, il ne pouvait pas abandonner, il se força à se relever, ce qu’il put faire, il fit un pas, puis un autre et ce n’est qu’au bout de deux mètres qu’il s’écroula à nouveau dans la neige, malgré tout ces effort il ne pouvait pas le faire, tant de mois passés dans cette neige l’avait tué à petit feu, il n’avait plus de force et ferma finalement les yeux attendant sa fin. Au moment où il ferma les yeux, il s’endormit …

Du temps passa, Arthur n’aurait su dire combien de temps, une heure ? Une journée ? Une semaine ? Un mois ? Il n’en savait rien. Il sentait la chaleur, un feu de cheminée, de la fumé de pipe, il ouvrit les yeux et voyait une lueur rougeâtre, au dessus de lui une étagère remplie de livre, il tourna les yeux vers la gauche et vu donc un mur, tournant dans l’autre sens pour regarder vers la droite, il vit une cheminée, une table sur le côté un peu plus en haut de sa vision ( donc en diagonale u_u ) un homme assis en train de lire un livre en fumant la pipe, voilà donc les explications à ce qu’il avait senti. Il se leva donc doucement à la limite du cognement contre cette étagère un peu basse. L’homme assis le vit et lui parla :


Tu es enfin réveillé ? Voilà deux semaines que tu dors jeune homme.

Arthur se retourna alors, il ne savait pas pourquoi il avait sentit un sourire lorsque cet homme avait parler. Il observait encore la pièce, cette unique pièce, une pièce avec une fenêtre et une porte, rien d’autre, quelques meubles, c’était une simple maison mais une maison accueillante. Il regardait l’homme qui lisait quand soudain son estomac cria famine, un bruit vint rompre le silence qui pesait. Il regarda son ventre rouge de honte, l’homme ferma alors son livre, le fermant rapidement et le regarda souriant, il lui dit :

Et bien mon garçon il semblerait que tu es faim, viens donc prendre un peu de bouillon

Le jeune rescapé le regarda étonné avant d’accepté doucement. Il vit cet homme, un vieil homme, des cheveux longs et blanc comme sa barbe, vêtu d’une toge sale à présent grise, il dégageait un certain savoir, une sagesse que personne n’avait. Arthur se leva doucement observant doucement le bouillon et finit par s’asseoir en face de ce vieil homme pour commencer à manger. Au cours de ce face à face, ils parlèrent peu, du moins l’homme parlait peu, en réalité il n’avait que poser une question, cette question demandait le passé de ce jeune enfant qui venait d’avoir 10 ans lors de ses deux semaines de sommeil. L’enfant répondait doucement en mangeant, il n’avait oublié aucun détail et avait même raconter le moment avec son frère. A la fin de cet narration, le vieil homme le regarda et finit par lui dire :

Tu as l’air intelligent, je peux te prendre comme apprenti et t’enseigner les secrets du monde
Non je ne veux pas apprendre tout cela, il me faut connaître la maîtrise des armes, tout les secrets pour devenir le meilleurs guerriers


Une réponse claire et précise de la part d’Arthur, il ne pouvait pas découvrir le sens de la vie, le secret du monde, devenir un sage ou un mage, non il devait devenir un combattant, l’un des meilleurs non ! Le meilleur, le meilleur de tous, il le devait pour son frère, ses parents, ses amis et son village, sa cicatrice était là pour le lui rappeler et il ne mourrait pas tant qu’il n’aurait pas accomplit ce qu’il devait faire. Le vieil homme sourit un moment avant de dire :

Et bien c’est décidé, je t’apprendrais tout ce que je sais sur l’art du combat

Arthur sourit un long moment, ce vieil homme acceptait de l’entraîner, mais comment allait-il le faire ? Dans cette maison il n’y avait pas grand chose et il se demandait s’il allait pouvoir lui faire maîtriser une arme. Il allait finalement se reposer sous le conseil de son tuteur, oui maintenant il le reconnaissait comme son tuteur, mais avant de dormir, il se demandait quel arme était son arme de prédilection, chaque homme était plus doué pour une arme, laquelle était l’arme de prédilection pour Arthur ? Sabre ? Hache ? Couteau ? Arc ? Lance ? …… Il finit par s’endormir sur cette question.

Le lendemain il se réveilla doucement, voyant la porte ouverte laissant la lumière du soleil éclairer la seul et unique pièce de cette petite maison. Il regarda un peu autour de lui, n’étant pas encore habitué à cet endroit et vit sur la table un petit mot avec un morceau de pain et une boisson dont Arthur ignorait son existence. Il allait voir et on pouvait y lire ce mot : Mange vite et rejoins moi vite dans la clairière sur la gauche de cette maisonnée. Arthur mangea donc rapidement et finit par sortir, devant d’abord s’habituer à la lumière du soleil, ses yeux dans la pénombre depuis trop longtemps devait s’y habituer de nouveau. Il regarda autour de lui, à gauche, les arbres menant surement à la clairière, devant lui, un chemin qui menait à une route surement plus fréquenté et à droite, un bord de falaise duquel on pouvait voir les montagnes. Le jeune garçon ne perdit pas de temps et fonça droit dans les arbres bordant la clairière, il ne lui fallut que très peu de temps pour arriver et voir devant ses petits yeux une clairière ronde entouré d’arbres tous plus fleurissants les uns que les autres, en son centre une pierre, un rocher et dessus le vieil homme, celui qui venait de sauver la vie à ce jeune enfant. Ce dernier s’avança toujours en courant un peu moins vite et finit juste devant le vieil homme assis en tailleur et avait devant lui pas moins de dix armes, toutes plus belles que les autres, du moins pour Arthur, certains les aurait trouver banal. Il entendit le voix du vieil homme lui dire :

Bien je t’attendais. Choisit l’une d’entre elle. Mais choisit bien, suit ton instinct et il te mènera à ton arme de prédilection.

Arthur le regarda un moment puis reporta son attention sur ces armes, il vit un couteau et allait le choisir puisqu’il pensait que ces long mois l’avaient aidé à mieux la contrôler et donc cela raccourcirait l’entraînement, il allait la prendre quand il regarda le vieil homme assis sur son rocher, celui resta impassible, n’ayant aucun sourire, en fait aucune expression de ne se dégageait de son visage. Il reporta donc son attention sur les armes, voyant sa main qui allait se poser sur les couteaux il se stoppa, réfléchissant un instant, il regarda à sa droite et vit une lance, il ne compris pas pourquoi, mais il se sentait bien plus attirer par la lance que par les couteaux, il prit donc la lance et dit d’un ton déterminé :

C’est la lance que je choisis
Ne serais-ce pas plutôt la lance qui t’a choisis ?


Sur ces mots le vieil homme souris, ce qu’il venait de dire avait semblerait-il perturbé le jeune garçon qui regarda étrangement la lance avant d’entendre le vieil homme rire d’un joyeux air, le garçon ne tarda pas à le suivre et la clairière fut animé de quelque rires. L’entraînement allait donc commencer, le vieil homme lui enseignait les bases, la portée de son bras et de sa lance, les inconvénients d’un coup, les avantages, ses faiblesses, ses points forts ….. Arthur était un bon élève et semblait retenir tout ce qu’on lui disait. Il apprit vite les bases et en effet, cela semblait évident que la lance était son arme de prédilection. Les jours passèrent donnant ainsi des semaines et celles-ci devenaient des mois …

Un réalité voilà maintenant deux ans que Arthur était sous la tutelle de ce vieil homme dont il ne connaissait toujours pas le nom. Mais il s’en moquait peu, il l’appelait « maître » et cela suffisait. Il n’avait jamais quitter la maison, cette toute petite maison et ne vivait qu’au dépend des cerfs et des lapins, l’eau puisé d’une rivière non loin de cette petite maison et le temps passait à l’entraînement. C’était en somme une petite vie paisible et agréable pour Arthur qui aimait bien vivre ainsi. Mais voilà qu’au bout de ses deux ans son maître lui apprit une nouvelle, toujours dans la clairière, sur son rocher, il lui appris que dès à présent il n’utiliserait plus de lance mais l’épée, pourquoi ce choix, il n’avait rien préciser à ce sujet, il disait juste que c’était le mieux pour lui, malgré le fait qu’il maîtrisait déjà très bien la lance. Néanmoins il avait confiance en son maître et changea d’arme, s’entraînant encore pour être aussi bon qu’à la lance, non, il voulait être encore meilleur. Redoublant d’efforts et de courage il lui fallut encore 2 ans pour être au même niveau.

Alors qu’il venait d’avoir ses 15 ans, son maître lui apprit qu’ils allaient maintenant voyager un peu. Voyager … Arthur en avait toujours rêvé, surtout quand il lisait les livres qu’il y avait sur le haut de l’étagère. Il avait maintenant une épée, accroché dans le dos, en réalité c’était plutôt un katana, la garde avec des losanges blancs sortant du noir profond du reste de la garde, une garde carré noir et une lame assez grand presque plus grand que le bras d’Arthur, un katana qui magnifique aux yeux de ce jeune enfant combatif. Son maître habillé d’une longue toge grise, un bâton comme appui et lui, habillé d’une veste sans manche noire et d’un pantalon recouvrant de petites botte de la même couleur que le haut et enfin, des protèges poignets de la même couleur que tout le reste. Ils avancèrent donc vers la route qui menait à la ville la plus proche dans un voyage bien silencieux. Mais dans la tête d’Arthur rien n’était silencieux, il se posait trop de question, comment c’était les villes, les personnes, comment allait-on le regarder le considérer, il était rare de voir un enfant de 15 ans avec un sabre aussi long. Il avait une pointe d’excitation mais aussi de stress dans ses mouvements, le vieil homme le regarda et lui sourit l’invitant à se calmer. L’enfant essaya tant bien que mal, mais ce n’était encore qu’un enfant, et finalement tout deux partirent à l’aventure et découvrir de nouveaux horizons pour le garçon.

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MessageSujet: Re: Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~   Exemple : ~~> Magatsu, Un dragon éternel <~~ EmptyDim 26 Oct - 0:10

Voilà maintenant deux bonnes heures que les deux, maître et disciples, marchaient en direction du sud, sur un petit chemin assez rocailleux et assez difficile pour les chariots et tout le tralala avec des roues. Enfin bref, un vent léger s’était levé et venait et repartait sans jamais s’arrêter. Ils virent enfin la ville de destination et sans s’arrêter continuèrent d’avancer. Le chemin était long mais calme, au moins il ne fallait pas se plaindre, il n’était pas long et agité … Arrivé à seulement quelques mètres, le vieil homme ne tarda pas à donner quelques conseils à Arthur sur son comportement en ville. Arthur écoutait et approuvait montrant que d’une il avait compris et que deux il le ferait.

Ils arrivèrent donc dans cette ville bien animée, chariots de commerçant, soldat en armure rouge, magiciens habillé en blanc, des simple habitants tous différents et tous si bien dans cette ville. Arthur ne faisait que tourner sa tête dans tout les sens suivant néanmoins son maître restant juste derrière lui, l’un de ses conseils. Il vit arrivé un homme plutôt grassouillet venir parler à son maître, il devait bien se connaître car ceux-ci riaient de bon cœur, les deux voyageurs furent invité chez ce même hommes pour prendre un bon repas et prendre des nouvelles du mage, car oui, terrible nouvelle, du moins grande nouvelle, son maître était un mage, cela expliquait de nombreuses choses, Arthur n’en croyait pas ses oreilles, son maître un mage ? Il en avait appris long sur son maître et en apprendrait surement encore durant de nombreuses années. Laissant un peu seul les deux hommes, il alla dans le jardin, du moins non en fait c’était une sorte de salle sans plafond avec du sable pour sol, il vit une autre personne, un adolescent apparemment plus vieux que lui, lui en revanche était armé d’une lance, l’ancienne arme qu’Arthur maniait. Ce jeune homme lui lança un défi, un duel, un contre un, le sabre d’Atrhur contre sa lance, le perdant devrait donner ce que le vainqueur voulait, autant dire que cet adversaire voulait le sabre d’Arthur. Ce jeune homme provoqua donc et Arthur ne put qu’y répondre. Dégainant donc, les deux opposants se regardaient et le premier se lança, Arthur connaissait tout de la lance, et n’avait donc aucun problème à esquiver ou parer chaque coups.

Le combat évoluait et les deux responsables des deux enfants, surpris par le bruit d’un combat, allèrent voir les deux jeunes combattants, le responsables de ce dénommé Hector, c’était son nom donné par cet homme grassouillet, voulu les arrêter mais il fut stopper par le maître d’Arthur en lui disant que cela ne pouvait que leur faire du bien, c’était un premier affrontement pour son disciple et donc l’un des meilleurs moyens de savoir son niveau comparé au reste du monde. Approuvant son idée il observa son disciple et observait le déroulement du combat.

Cela se voyait à coup sur, Arthur avait l’avantage, connaissant le temps entre chaque coups selon la portée et la puissance, connaissant chaque point fort ou point faible et exploitant ce savoir pour ainsi contrer ou attaquer son adversaire. Le combat ne dura que quelques minutes quand Arthur désarma son adversaire après une excellente parade. Les deux maîtres applaudirent les félicitant, c’était un beau combat surtout venant de si jeunes combattants. Arthur était fier de lui et souriait longuement à son maître, après tout c’était grâce à lui qu’il avait pu marcher jusqu’à la victoire. Son adversaire le regarda et alla lui demandait ce qu’il voulait en récompense de sa victoire, Arthur avec un grand sourire sur les lèvres lui dit qu’il ne voulait que son amitié, étonné, Hector finit par accepté et ce fut une réjouissance parmi les quatre présents qui allèrent finalement finir la journée ensemble joyeusement.

Arthur ne put s’endormir rapidement, trop excité et joyeux de sa journée, il était reste pas moins d’une heure dans son lit bien douillet sans pouvoir dormir quand finalement il décida d’aller à la fenêtre, observant les rues de dehors, il n’y avait presque plus personne, quelques trois fêtards rentrant chez eux et puis c’est tout. Arthur regarda alors le ciel, d’une étrange beauté, ce ciel l’apaisait, ces étoiles qui brillait dans ce ciel si sombre, leur éclat était magnifique, il resta là, à contempler ce merveilleux ciel pendant presque une heure, il dut s’arrêter lorsque il ressentit la fatigue après avoir bailler un long moment. Il alla donc finalement dans son lit bien douillet qui l’attendait et ferma rapidement les yeux avant de s’endormir. Il dormit toute la nuit d’un sommeil lourd et agréable, un sommeil reposant qu’on aurait aimé revivre chaque nuit …

Le lendemain matin, il fut réveiller par des bruit à sa porte, quelqu’un voulait le réveiller apparemment, il se leva, et alla ouvrir, une jeune fille pas plus vieux que lui était devant, vêtu d’une toge blanche, elle l’informa que le maître de cette maison voulait lui parler. Il approuva et commença à sortir de sa chambre quand elle lui proposa avant de s’habiller un peu mieux avec un sourire aux lèvres, Arthur se regarda, en effet il n’était vêtu que de son pantalon, il sourit bêtement, d’un air totalement désolé, il avait presque honte de sa stupidité actuelle, il referma légèrement sa porte et s’habilla correctement en entendant un ou deux petit rire de la jeune fille qui attendait devant la porte. Une fois prêt, il ouvrit la porte et déclara qu’il était prêt à la suivre, elle lui dit donc de la suivre et tout deux partirent en direction du maître des lieux qui voulait parler à Arthur.

Pendant tout le court trajet, elle lui posa des questions, lui n’y faisait qu’y répondre encore un peu surpris de ce réveil et de ces questions. Ils arrivèrent dans une grande salle, un haut plafond décoré par une peinture magnifique représentant une ancienne bataille, des colonnes blanches, des murs en marbre blancs également, des bibliothèques remplis de livres, au fond un bureau, pendant qu’il se dirigeait vers ce bureau où se trouvait le maître des mieux, il regarda à sa droite et à sa gauche, de nombreux jardin fleurissant, il entendait ses pas résonner dans cet immensité, la fille semblait être juste derrière lui, l’accompagnant encore. Une fois arrivé devant le bureau, le maître des lieux l’observa, il congédia la jeune fille et se leva pour commencer à parler avec Arthur, il fit quelque pas et commença :


Jeune homme, j’ai une nouvelle à vous annoncé.

Il fit quelques pas, invitant Arthur à le suivre, il se dirigeait vers l’un de ses jardins, on voyait bien qu’à la fin de ce jardin, une immense étendue de vert se voyait, une plaine, et au loin une montagne. L’homme un peu grassouillet le regarda et lui dit :

Votre maître est parti et m’a confier votre garde.

Arthur voulu poser une question, mais il se disait qu’il ne fallait pas l’interrompre, il fit néanmoins une tête qui disait tout : pourquoi ? L’homme à ses côtés sourit un moment puis continua :

Il m’a dit que le meilleur pour vous était de partir avec moi, en effet je pars vers ces montagnes, une ville s’y trouve, une ville où mes meilleurs combattant se retrouvent pour le tournoi annuel. Il m’a conseillé de t’y emmener afin que tu évolue plus dans ton art du combat.

Arthur fut surpris d’entendre cette phrase, son maître l’avait laissé afin qu’il s’améliore encore un peu plus. Mais pourquoi n’y était-il pas aller tout les deux ? Il n’eu aucune réponse à cette question, peut-être avait-il autre chose à faire, de plus important que lui, c’était évident, après tout Arthur n’était qu’un enfant, cela devait être ça, pourtant Arthur tenait à son maître, après tout il lui avait sauvé la vie et lui avait appris tout ce qu’il savait … Comme si le maître des lieux avait lu dans ses pensées il rajouta :

Il m’a dit qu’il viendrait te voir lors de ce tournoi, en cet instant présent, il doit faire une chose plus importante.

Arthur sourit alors, heureux de le savoir. Il regarda les lointaines montagnes et sourit, c’était donc la-bas qu’il allait revoir son maître. Il sourit et suivit donc le maître des lieux qui rentra alors vers son bureau, il lui dit qu’il pouvait le laisser et repartir vers de nouvelles activités le temps de se préparer à ce voyage. Le jeune homme se dirigea donc vers la sortie, il alla d’abord vers sa chambre, histoire de récupérer son arme. Il y arriva lentement et prit son sabre, il prit le temps de s’asseoir sur son lit et contempler son sabre, un sabre offert par son maître. Il leva la tête pour voir la jeune fille qui l’avait réveillé à sa porte, l’observant, caché derrière le mur, seule sa tête dépassait. Leurs regards s’entrecroisèrent et elle partit en courant. Arthur fut étonné de sa réaction, il courut vers la porte et regarda dans la direction où elle fut parti, il la voyait encore courir, il se demandait encore pourquoi elle avait réagit comme ça. Elle disparu finalement de sa vision et il retourna sur son lit à se demander pourquoi une telle réaction. Finalement il s’allongea et se perdit dans ses pensées avec un regard vers le ciel et le plafond de sa chambre …

Il fut sorti de ses pensées par une femme, plus âgé que la première qui l‘informa que l’heure du départ était arrivé. Il se leva donc la remerciant gentiment, il se dirigea donc vers la sortie en se demandant pourquoi ce n’était pas la même que tout à l’heure qui était venu le chercher … Mine de rien il s’y était attaché au premier coup d’œil et aimerait bien la revoir …. Néanmoins il partit avec le convoi se demandant où elle se trouvait. Un convoi de marchand, et oui cet homme grassouillet était un marchant, et s’il allait dans la ville montagneuse c’était pour son commerce, en effet les gens s’y regroupaient en masse, quoi de mieux pour un marchand ?

Le convoi parti et l’une des missions pour Arthur était de protéger ce convoi, il prouverait ainsi sa valeur et s’entraînerait par la même occasion. Il se plaça donc tout à l’arrière et voyait ainsi le chemin qui défilait. Il regardait le sol sans vraiment le regarder, car ses yeux furent voilé par une image qui occupait son esprit, celle de cette jeune fille du même âge que lui, il se demandait d’une pourquoi une telle réaction, et surtout, allait-il la revoir ? Il se le demandait encore et encore, pourquoi elle occupait tant son esprit ? Il ne l’avait vu que deux fois et ne lui avait parler qu’une fois …… Il fut sorti de ses pensées lorsque il remarqua que le convoi était déjà dans les plaines et surtout lorsqu’il entendit un cri venant d’une femme se trouvant un peu plus en avant dans le convoi. Il sauta alors de sa place et alla voir, la femme lui montra avec horreur, le premier convoi de ce même homme avait été attaqué, Arthur couru pour aller voir, il vit des chariots détruits, des hommes et femmes griffés ou mordu parfois les deux, en somme, tout ce qui faisait penser à une attaque d’animaux sauvage.
Il couru voir et vu avec un sentiment extrême, de la joie, tristesse et de la haine montaient en lui. Pourquoi de la joie, la revoir l’explique, pourquoi la tristesse, dans cet était l’explique, pourquoi la haine, les responsables l’expliquent …. Il s’agenouilla à ses côtés et la prit dans ses bras, il la regardait. Elle avait le souffle court, les yeux fermés, des plaies sur son corps, Arthur l’a prit dans ses bras et la porta jusqu’au second convoi, il l’amena et demanda qu’on la soigne, deux femmes arrivèrent et déclarèrent qu’elles s’en occupaient.

D’un autre côté, le marchand vint vers Arthur et lui déclara dans un demi souffle ( il venait du milieu du convoi ) que d’autre des bêtes sauvages arrivaient, surement les mêmes qui avait attaqué le premier convoi. Arthur les regarda arrivé. La haine montait en lui, il dégaina son sabre et les attendit en marchant un peu vers leur direction. Il était emplie d’une haine intense envers ces créatures, ces créatures responsables de l’état de cette jeune fille qui occupait son esprit depuis si longtemps. Il les attendais de pieds ferme, sabre à la main prêt à les découper, chacun leur tous ou bien tous en même temps, mais dans tout les cas, aucun ne s’en sortirait vivant, Arthur portait une haine trop grande envers eux.

L’une arriva finalement en sautant, crocs pointés et gueule ouverte prêt à balafrer Arthur, ce dernier fit un pas sur le côté et découpa horizontalement cette bête, la dépouille était retombé sur le sol et on pouvait voir la partie supérieure et inférieure du corps séparées et sa lame était ensanglantée. Il regarda les autres arrivés, de la même façon que le premier, il en regarda un d’un regard neutre, se décala à nouveau pour un tranché un et esquiva un deuxième avant de se tourner pour le suivre, deux bêtes foncèrent sur lui un devant, l’autre derrière. Il mit en genoux à terre et fit tourner sa lame dans les airs tranchant ainsi la tête de ces bêtes haïs. Encore trois le regardait, à l’affût, sur leur gardes et prêt à bondir, Arthur les regardait du coin de l’œil, un à un, regardant chacun de leur mouvement, d’un moment ou un autre l’un d’entre eux allait passer à l’attaque et les deux autres allaient suivre juste après. Le premier arriva en courant, gueule ouverte, elle n’aurait pas du l’être car Arthur lui enfonça sa lame dedans lui perforant tout sur son passage. Il retira sa lame de la gueule de cette créature quadrupèdes et attendit les deux autres, l’un arriva juste derrière le cadavres de la quatrième dépouille. Arthur sauta vers cette bête immonde en se servant du corps tombant de sa dernière victime et alla embrocher la tête de l’animal qui arriva, la lame se planta d’ailleurs profondément dans le sol emprisonnant le corps sans vie de l’avant dernière créature responsable de l’état de cette jeune fille et du massacre du premier convoi. La dernière fonça vers Arthur qui peinait un peu à retirer son sabre, la voyant arriver, il n’eut pas le choix, il attrapa alors la gueule et la brisa avant de lui briser la nuque, il n’avait qu’une légère griffure à son bras droit, rien de grave. Il venait de tuer six créatures à lui tout seul, et il en était presque content, d’ailleurs la haine venait de s’évanouir, il réussit à récupérer son arme planté dans le sol, défaisant le sang dont elle était recouverte et la rangea dans son fourreau.


{ pas de suite, j'ai un paragraphe trop long pour le post xD et snon faut que je fasse la suite xD }
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