Test RP: ( Ancien Rp en tant que Kakuzu ) ou alors venez Ici => Rp Qui est plus récent ( deux jours )
Le soleil à peine levé, les oiseaux murmurait leurs plaisant chant d'été, le ciel voilé d'une fine brume grisâtre réchauffait les cœurs assombris et au loin une douce mélodie. Harmonieuse et en total accord avec la nature elle entraînait les nuages, le vents puis le temps... L'auteur de cette agréable féerie semblait illustrer dans sa création une certaine peine et un ennui décadent. Les oiseaux même ignoraient d'où provenait tant de bienveillances mais c'était si gai qu'il ne purent s'ajouter à la prestation par leur sifflement aigu et pénétrant.
Le paysage comme endormis écoutait les plaintes de l'auteur sans la moindre compassion. Un paysage au relief imposant et à la flore quelques peu absente. Un lac venait apporter un irréprochable divertissement qu'il soit visuel ou auditif. Et c'est non loin de ce lac que la mélodie fut le plus perçant. À quelques mètres à peine de ce vaste étendu d'eaux se trouvait un abri simple et humble, construit d'épaisse dalle de bois. La nature entière réduit au silence témoignait d'un homme aux sentiments divergeant. L'auteur à quelques pas de l'abri, sur un fauteuil à bascule se contentait d'émouvoir le paysage... Et comme jamais il jouait de son Aulos. Un hautbois constitué de roseaux dont la valeur inestimable provenait d'une légende Grecque. Selon la légende, l'Aulos est inventé par une déesse pour imiter le thrène funéraire d'une créature divine. Un instrument d'autre part aurait l'unique possibilité d'émouvoir les vents et les influencer. À voir le jeune auteur s'approprier le paysage entier par un air calme et soporifique on pouvait concevoir toutes légendes.
Seulement ce ravissant spectacle comme les idées qu'il représentait se voulait être éphémère. Aussi après un court moment de prospérité la mélodie cessa. Comme pour un retour à la réalité la nature, le paysage entier et toutes formes de vie environnante se voyaient reprendre vie après s'être assoupi sous la création d'un homme.
Cet homme lui ne semblait pas reprendre vie bien au contraire, tout ce qu'il avait extériorisé par sa musique paraissait être enfermé dans ses pensés. Dans un effrayant silence l'auteur, un jeune homme aux allures communes patientait avant de reprendre vie à son tour. Mais alors qu'il jouissait de son temps un troisième protagoniste s'ajoutant à l'auteur et à la nature vint perturber cet entraînant silence.
Sorti de nul part, ce deuxième homme, joufflue et influent vint heurter la réticence de l'auteur. Il se dressait telle un majestueux privant le créateur du moindre rayon de soleil filtré par le voile blanc des nuage toujours présent.
Le novice peut être par crainte ou par respect se tu quelques temps avant de lancer ses premières déclarations. Pendant ce temps l'auteur toujours irréprochable ignorais la moindre présence, pour lui il n'y avait que la nature et lui.
Cependant il fallut que le raisonnable vilain passe à l'impertinence aussi il ne pu s'empêcher de déclarer à l'auteur :
Kakuzu... N'en a tu pas assez de flâner ici ? Dieux sait que ton talent est désiré et convoité alors pourquoi ne pas faire ce que tu a toujours aimé faire ?
Tu étais un garçon arrogant qui n’hésité pas à user de fourberie et de ces armes pour arriver à ses fins… Il serait peut être temps de reprendre du service tu ne pense pas ?
Une déclaration forte intéressante qui malgré sa présence indésiré indiquait qu'elle hommes étaient l'auteur et révélait son identité. Mugen Alias Crève-la-faim: Un nom qui ne parlera à personne car discret l’auteur ou plutôt, Kakuzu fut un homme déchu de la société qui a pu survivre dans ce monde que par une réputation importante mais néfaste. Un délinquant comme on en fait plus qui faute de n’avait pas assez investit dans ses projets professionnel a sombrer dans la criminalité l’argent étant seul source de bien être dans cette utopie…
Kakuzu enchaînait les petites besognes pour des hommes dont la justice a tenter à maintes reprises l’incarcération définitive mais toujours ils l’évitèrent. Ils géraient les plus grands flux d’argent et de drogue du monde entier.
Ce monde moderne issu des hommes se dégradait sans cesse. Alors que ces derniers, avides de connaissances et de pouvoirs étendaient leurs avancements à travers les âges, le genre humain périssait laissant place aux nouvelles générations.
La société en déclin force les hommes à débattre sur l’avenir qui est plus que jamais menacé. Les ressources s’affaiblissent, les puissances se rétractent et pourtant, les hommes s’obstinent à croire que le monde se porte bien. Mais la vérité était tout autres : Le monde se voyait progressivement envahit et contrôler par une délinquance qui ne cessait de se développer. Seulement ce temps était résolu et Kakuzu encore jeune ne paraissait plus animé de passion et d’envie de combattre et d’aller toujours plus loin. Sa paresse avait délicatement au fils des années pris le dessus jusqu’au jour où son seul but n’était plus que d’attendre la mort comme un vieil homme. Cependant l’argent se voyait réclamé et sans argent pour subvenir à ses besoins journalier Kakuzu ne pouvait continuer à vivre ainsi en flânant et en paressant en attendant que la chance ce pointe. L’incorrigible éprouvait de plus un manque charnu d’aventure et de danger. Lui qui vivait autrefois sous les feux intempestifs de la guerre, lui qui dormais entre les corps gisant de ses hommes, lui qui a dit « Si les homme mon rejeté, alors je n’ai plus qu’à m’imposer (…) Que la société me considère comme une gêne qu’il faut éradiquer sans quoi elle la dominera » Kakuzu était belle et bien un briguant comme on en fait plus. Un homme pour qui la vie n’a de sens que lorsque leurs victimes trépassent sous la menace de sa lame. Mais croyez le où non le jeune homme n’avait rien de tout cela. Il est vraie qu’il a durant des années tué pour survivre mais le gueux s’avèrent être une personne éduqué voir intelligente. Comme quoi, l’habit ne fait pas le moine et pour le cas du jeune homme le proverbe concorde parfaitement. Le crève-la-faim, Kakuzu de son vraie nom a vécut toute sa tendre enfance au seins d’une famille d’accueille dont l’éducation presque irréprochable enseigne les vertus les plus droites et sincères. Le jeune homme descendait d’une piteuse famille de Gueux dont la richesse n’atteignait que rarement le seuil de pauvreté de l’époque. La mère sans aucun travail se contentait de se prostituer pour subvenir à certains besoins tandis que le père exploité se vouait entièrement à sa profession de forgerons. Un fils aîné d’une vingtaine d’année dont le seul destin semblait tourné vers les jeux de fortune et rien d’autre. Un homme d’argent qui perdait plus qu’il ne gagnait. Seulement la petite famille semblait soudé mais apparemment cela n’a pas suffit et le jeune mineur s’est vue éloigner de se monde salit et misérable pour vivre les quelques années restantes de son minorité au seins d’une famille de bourgeois pour qui l’argent ne manquait guère. Le jeune homme par la suite va être initié aux arts médicaux (…) Chirurgie, Acuponcture tout y passait. Il était contraint à cette initiation qui ne lui servira finalement à rien dans le sens où le jeune adonis va quelques années plus tard rejoindre le bas de l’échelle social. En effet, une fois sa majorité atteinte Kakuzua rejoint la délinquance pour une simple et bonne raison : Selon lui la délinquance représentait le peuple du bas et ses parents étant de ce même partie, le jeune effronté souhaitait redonné au peuple le peu de fierté qui lui était destiné. Car l’argent manquait à tous et il n’était pas le seul à vouloir rétablir un certain ordre… Aussi le jeune homme s’investit dans le trafic d’homme, d’argent et d’arme jusqu’à obtenir une notoriété suffisante pour pouvoir agir en son propre nom ainsi le jeune Kakuzu se fit appelé Yôma. Ce pseudonyme fut toutefois de courte duré... Plus tard, l’incorrigible Kakuzu entrepris un projet des plus surprenant presque inatteignable. De par ses facultés médicales il souhaitait investir dans la création. Car il ne fallait pas l’oublié, Kakuzu était un homme et comme les homme il se voulait ambitieux et désireux. Comme les hommes ont étudié notre monde pour obtenir des réponses, Kakuzu avait décidé d’étudier notre corps pour obtenir un résultat parfait.
Ainsi celui qui se servait comme passeur d’argent et de drogue s’ajouta à la liste des nombreux criminels dont la réflexion ne sert plus à la tuerie mais à la science et à la création. Il n’était pas devenue un scientifique à proprement parler mais simplement « un homme pour qui la médecine sert non seulement à tuer mais aussi à illustrer à travers un corps nos pensé et nos désirs les plus fous » Par la suite le désireux s’est vue abandonné ses projets atteint d’une indolence incurable. Ainsi il devint l’homme fainéant qui se trouvait être l’auteur de la douce mélodie dont les cœurs ont été brusquement interrompue par un individus impertinent mais toutefois familier aux yeux de Kakuzu. Devant lui, cet homme farfelu et grossier semblait vouloir le ramener à la raison. Ce garçon n’était pas n’importe qui. Il était l’un des plus vieux amies de Kakuzu et même si son corps flétrie et important ne le montrait pas il était un compagnon d’arme surprenant de l’époque où l’adonis était un criminel. Il se faisait appelé Jabura et c’est sous les ordres de Kakuzu qu’il atteignit la gloire et la notoriété. Mais pour une raison inconnue les deux hommes semblaient s’être perdu de vue… L’auteur irrité par les paroles de son ancien compagnon ne pu s’empêcher de répliquer. Chose qui confirmera la présence d’un caractère quelques peu spécial.
Ferme la ! J’ai pas besoins des conseilles d’un pochtron ! Kakuzu soupira avant de déclarer à nouveaux :
Je suppose que je n’ai pas le choix hein ?Quelques peu vulgaire Kakuzu semblait mécontent des paroles de l’intriguant Jabura. Mais étrangement, après un bref soupire le capricieux fini par se soumettre. Un retournement peu compréhensible mais qui s’explique par un fait passé :
Il y a 5 ans de cela, alors que Kakuzu n’était qu’un vulgaire jeune garçon avide d’aventure et de nouveaux horizon il entrepris ses long projets illégale au coté de son compagnon le plus fidèle, Jabura. En ce temps leurs besogne consistait à occuper le marché médicale et se vouer à de nombreuse expérience afin de créer qui sait, une armée entière peut être Choses compliqué compte tenu du fait que les deux chasseur se voyait traquer sans cesse. On ignorais où les deux hommes contenait aller avec de telle projets et de telles ambitions nul ne savait qu’elles étaient leurs véritables intention. Seulement un jour le jeune Kakuzu fut lassé de cette vie. Il voulait vivre une vie normale avec une femme et des enfants chose que tout homme se respectant convoite. Cela pouvait témoigner d’un des sauts d’humeur réfractaire du jeune homme ainsi que d’un lunatisme à l’exemple de cette retraite anticipé peu changer toute la vie de cet homme. Aussi Jabura lui accorda 3 années de répit. Trois longues années durant lesquelles le jeune Kakuzu sera libre de ses mouvements et de ses actions. Ce dernier préféra ainsi s’isoler dans une auberge loin de tous les soucis de la ville. Durant trois ans le lunatique Yôma s’est vu flâner dans un magnifique paysage où seul la nature dicte les règles. Une énorme satisfaction pour le jeune homme… Mais hélas ces trois années s’écoulèrent plus vite qu’il ne le pensait. Aussi après trois années de répit le jeune homme se voyait rappelé à l’ordre par son jeune compagnon qui pendant tout ce temps avait remplacé entraînement et combat par restaurant et détente. Kakuzu avait ainsi donc pas le choix et se devait de reprendre ses fonctions.
C’est muni d’un regard sombre et méprisant qu’il se leva et ôta ses habit relax pour d’autres beaucoup plus réglementaire. Et bizarrement lorsque son regard croisa celui de son compagnon un léger mais certain sourire se dessina sur son visage. Un sourire qui témoignait de l’authentique esprit du jeune homme. Ces trois années n’était finalement qu’une courte pause offerte à Kakuzu afin qu’il puisse à nouveau trouver l’inspiration pour ses prochaines ambitions. Ces projets, ni même son avenir était inconnu mais on pouvait déjà redouter ses facultés et son esprit instable. Capable de tous et de rien, son destin baignait dors et déjà dans le sang (…)