[]-Yabaku Ushobi le Tisseur-[] [terminé]

• Ton Personnage •

• Ton Nom : Ushobi

• Ton Prénom : Yabaku

• Ton Âge : -Âge totalement indéterminé-

• Nindo (= But) : Je voue ma vie à l'évolution des choses, de l'art et de mon ninjutsu.

• Tes Affinités / Spécialités : Ninjustu:Katon et Fûton Kekkai Genkai : Kinuiton

• Le Grade que tu désires : ANBU, sinon, j'aurais ce que je mérite d'avoir.

• Le Village que tu désires : Oto

• Ton Physique (minimum 5-6 lignes):

Citation :

« Mon père m’a toujours dit que pour être un bon ninja, il faut savoir être en forme et ce, dans le crâne, comme dans les muscles. »

Ces paroles, dites par Yabaku, expriment beaucoup la philosophie du corps de celui-ci. Un shinobi se doit d'avoir un corps apte à supporter les coups, apte à supporter le shinobi lors de dangereuses missions. De ce fait, Yabaku possède une apparence propre à cette philosophie et je compte alors vous la détailler de la tête au pied, du pouce au petit doigt. Commençons alors à sa chevelure. Dans le règne animal, la crinière du mâle est des plus importante et celle-ci représente sa force de caractère et une grande partie de la personnalité de celui-ci. Dans le cas de Yabaku, sa chevelure sombre et noire garnit bien son cuir chevelu. On dit souvent que les cheveux longs ne sont pas pratiques pour un shinobi, surtout dans les missions forestières où les branches d’arbres semblent être un ennemi aussi dangereux qu’un ninja. Yabaku, lui ne croit pas que ce genre de chose affecte réellement un combat. Sa tignasse longue tombe contre le bas de son dos, suivant de près chacun des mouvements du ninja. Sa chevelure de soie sombre et froide, dotée d’un reflet bleuté et spectral est, dans son genre, plutôt unique chez les personnes de son clan et de bien d'autre. Si nous descendons un peu plus bas, l’on peut apercevoir un regard froid, se tenant dans les teintes de gris et de bleuté tel un loup de montagne, un regard qui attire celui des autres comme une pièce de viande attirant les moins futé. L’iris bien circulaire domine bien son visage et fait visiblement contraste avec ses cheveux plutôt sombres et noirs. Son regard communique un certain effet de peur, par simple charisme. Aucun dojutsu n'est lié à ses yeux. Ses sourcils, tel une couronne, fin et sombre, couvre le haut de ses yeux. Deux légères triangles noirs descendent en pointe du coin de ses yeux, vers ses joues supérieures gauche et droite. Ces mystérieux triangles, tatoués à sa peau, sont en soit une signature bien particulière du clan Ushori-Oru (tisseur). Les deux pointes Amibari, signifiant son appartenance au clan. Son visage reste cependant plutôt mélancoliques, plutôt neutre et froid. Ses traits fins et félins démontrent un visage d’une grande beauté. Sa peau livide et glacé reste dans la nuance de couleur de ses yeux, on parvient à y voir un tout petit peu de beige, assez pour ne pas dire que ça peau est totalement blanche et sans vie, Yabaku n’est pas un mort, il est bien en vie et en parfaite santé même. Malgré cette froideur et ce manque de gaieté, un sourire est parfois visible sur ses lèvres, un sourire qui contredit le reste de son visage, de son air un peu sinistre, un sourire sombre qu’il affiche plus d’une fois. Malgré ses airs sinistres, Yabaku n’en reste pas moins qu’un shinobi d’une grande beauté attrayante, esthétiquement bien faite par ses traits fins.

Son corps n’est que la suite du reste. Il reste dans la moyenne au niveau de sa grandeur d’homme bien normal de 5’11’’. L’on peut déjà en déduire que Yabaku n’est ni un molosse imposant et repoussant, ni un nain frêle et potelée telle une patate qui aurait mal pousser. Au niveau de la génétique, son corps est tout a fait normal et au niveau de l’entraînement, l’on ne trouve pas beaucoup de cholestérols dans les artères de son cœur, ni un ventre garnit par trop de saké. Par contre, ses deux bras restent en permanence entouré de tissus de soie. Pourquoi? Il n’ose pas vraiment le dire, mais moi je le sais : Comme le Sharingane, le maniement du Kinuito requière de nombreux sacrifices et à la suite de ses sacrifices, il perdit l’usage de ses bras (Explication plus en détail dans l’histoire). Son torse est toutefois bien en forme, avec ses pectoraux bien solides tel deux boucliers, et un paquet de six muscles bien visible sous ceux-ci. Ainsi, le corps de Yabaku est loin d’être faible et frêle. Il est cependant loin d’être coté trapu, bien au contraire, l’on voit rapidement que la génétique a tourné vers l’agilité plutôt que vers la force. Sa peau reste comme son visage, plutôt mât, très loin d’être bronzé ou bien foncé. Bien sûr, ce genre de corps est plutôt commun dans une ville où le métier de ninja est primordiale, où la forme physique doit être présente dans chaque être pour le mieux de la survie commune du village. Bien que je vous décrive son corps, vous n’aurez pas beaucoup l’occasion d’en voir la silhouette sous les couches de tissus et de manteau de celui-ci. Son majeur et son index droit possèdent des ongles maquillés en noirs qui lui permettent de mieux concentrer son chakra au bout de ceux-ci.

Yabaku est surtout reconnu pour sa tenue vestimentaire plutôt sombre et sobre. Tentant de ne pas trop attirer l’attention, il porte surtout des vêtements de couleurs foncés, tel que son fameux manteau noir, ressemblent un tout petit peu à l’uniforme de l’Akatsuki, seulement, il y a une raison à cela pour sa part : La plupart des secrets de Yabaku réside dans les tissus qu’il garde caché sous son manteau, dans les longues manches qui recouvrent un peu ses mains. Ainsi il parvient à cacher à l’adversaire sa tactique ainsi que ses lambeaux de soie. De toute façon, il préfère bien plus quelque chose qui lui donne de l’air, qu’une tenue verdâtre et collante (clin d’œil à Rock Lee). En ce qui concerne le bandeau de Yabaku, il n’en a pas. Ce qu’il a en fait c’est une plaque de métal qu'il a fixé au collet de son manteau, ainsi, il n’a pas de bandeau pour gêner ses mouvements ou bien lui bouillir le front. Il ne possède pas de sandale, seulement des pieds entouré de nombreux tissus, languettes de soie qui lui sert encore pour la technique : « Maximisons notre puissance. » Il va de soit que ses vêtements sont constitués en une soie plutôt spéciale et résistante tissé par sa propre personne (épreuve de son clan). Sous son manteau, il se contente de porté une camisole noire, moulante à son torse, ainsi que des pantalons plutôt amples.

La soierie est chose importante dans la tenu vestimentaire de Yabaku puisque celui-ci l’utilise pour ses nombreuses techniques. Es-ce qu’un simple manteau peut devenir une arme? Peut-être bien.

• Ton Caractère (minimum 5-6 lignes):

Citation :

Comment peut-on réellement définir un être aussi complexe que Yabaku? Cela n’est certes pas chose aisé avec ce personnage coloré, secret, mystérieux qu’est Yabaku. Soit, cette homme sombre et froid d’apparence est totalement différent en ce qui concerne sa personnalité complètement contraste aux qualités cité précédemment. Je dois tout d’abord avoué que Yabaku n’est pas l’être le plus stable ainsi que le plus humain en ce qui attrait sa manière de penser, sa méthode de communication et ses coutumes. Le plus grand facteur de ce bouleversement psychologique et mental est en grande partie dût à ses expériences de vie lié à son Kekkai Genkai unique de son clan. Avoir un pareille pourvoir prend de nombreux sacrifices personnelles et émotionnel afin d’avoir sa pleine capacité, un peu comme le Sharingan, mais encore plus au niveau psychologique.

Soit, Yabaku voit le monde d’un point de vue complètement différent, soit, coté fou quelques foi et d’autre philosophique. Pour lui le monde est un tableau, une simple pièce de théâtre dont il en est le personnage principal, la vedette, l’étoile de la noirceur. Ce sens artistique est directement lié à son style de combat, tout est dans l’esthétique. Laissez moi vous expliquez un peu le Taijutsu du clan Ushobi et ce, en une phrase. Le membre se bat à l’aide de draps de soie bien spéciales, aussi coupant qu’une lame, gardent la souplesse de la soie. Ainsi, il effectue une sorte de danse afin de faire tournoyer cela pour atteindre l’adversaire. Maintenant que je vous ai fait un très court résumé de sa danse toute joyeuse, je peux rajouté que ce sens artistique n’est pas seulement lors des combats. Il n’hésitera pas à s’arrêter, sans aucune raison, interrompant la mission, seulement pour regarder quelque chose qui trouve beau, attirant visuellement. Chaque image, chaque art lui donne de plus en plus d’idée et le rend secrètement plus fort, car, je vous le rappelle, sa force réside dans le sens artistique de la danse ainsi que son imagination créative, sa capacité à tissé différente chose. Effectivement, il fait serré les dents de ses compagnons en les ralentissent, mais ils savent bien que c’est tout simplement Yabaku, qu’il n’y a rien à faire contre ça.

En ce qui concerne sa philosophie de ninja, il ne suit pas vraiment les modes d’Oto. Pour lui, la mort n’est pas la chose le plus utile qui soit, encore moins lorsque celle-ci est sans aucune raison. Tuer n’est pas un divertissement mais bien un dernier recours. Vous pensez sûrement que Yabaku est un ninja pacifiste, comme le 3e Hokage le fût, détrompez-vous. Il ne faut pas mélanger les choses, Yabaku vous prendrait volontiers comme prisonnier… Seulement, un corps mort reste inutile et ne révèle plus aucune information sur l'ennemi, vaut mieux lui tirer des informations et le laisser au plus barbare sans se tacher les mains pour autant, voilà la différence.

En ce qui concerne ses relations avec ses camarades ninjas, il est capable de se lier d’amitié, mais aucunement dans la grande facilité. Il est difficile d’approche, difficile de distinguer ses pensées et peu de gens ne supportent vraiment ses manières artistiques qui font ralentir égoïstement ses camarades lors des missions. Il ne s’en occupe pas trop, il préfère être détesté qu’être prisonnier par les habitudes ennuyantes des autres, ils sont beaucoup trop sérieux… Par contre, si vous avez la chance d’être quelqu’un de cher à ses yeux, tout change. Vous devenez alors comme une œuvre d’art pour lui, vous devenez quelque chose qui doit survivre, qui doit vivre, pour le bien de la pièce. Vous devenez quelque chose d’unique et d’important qui mérite sacrifice, attention, protection. Si la pièce de théâtre devait se terminer dans un sacrifice pour sauver un des personnages secondaires, Yabaku le ferait les yeux bien ouvert et bien conscient. Il vie pour l’art, il vie pour la beauté des choses, pour le combat artistique et si vous devenez une figure importante de l’art, vous devenez une personne en or. Après ces belles paroles, je dois avouer que Yabaku n’a vraiment pas la liaison facile, donc ce genre de discours est rarement mit en contexte, ceci n’est que théorique en fait.

Yabaku fait rarement confiance en l'instinct qu’il trouve un peu trop primaire et barbare… l’instinct… Comme Shikamaru, Yabaku sait faire preuve de logique et de bonnes stratégies contre l’ennemi. L’on doit faire des répétitions pour bien acter à la pièce de théâtre, il faut se préparer. Yabaku se prépare toujours, à chaque mission et il en tir toujours un franc succès. Face aux insultes, Yabaku tire visiblement d’Oto, il les encaisse et ce venge tout simplement pendant le combat en sortant victorieux. Perdre après se faire insulté serait contraire à l’art, cela serait contraire à la logique de Yabaku, ainsi, après une défaite, Yabaku se questionne longuement et médite sur ses erreurs, pour ainsi, remettre la logique en ordre. Yabaku garde cependant un certain côté noir et sombre. Il est en quête de pouvoir et de savoir, même si il n’exprime que très rarement ce désir. C’est peut-être sa bête noire, le pouvoir. Ce désir pourrait mettre de côté toute cette philosophie et y mettre un moustique près a sucé la moindre parcelle de pouvoir pour se rendre plus fort.

Après tout cela, si vous croisez Yabaku dans la rue, il saura parlé avec vous, amicalement et normalement, même avec un sourire. La vie est tellement plus belle si on sourit au publique, mais attention, vous auriez pas une feuille sur votre bandeau?

• Ton Histoire (minimum 15 lignes): À venir
• Test-Rp : À venir


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• Toi •

• Comment tu t'appelles ? Charles

• Comment as-tu connu le Fofow' ? En écrivant tout bêtement sur un moteur de recherche : "Forum rp naruto"

• Comment trouves-tu le Fofow' ? L'apparence est très belle et pour une fois, les règlements sont bel et bien clairs.

• Et enfin....Tadadadadadadada...Ta première impression des admins : Ils ne semblent pas aimer les boulets en tout cas! Alors, j'ai un point boni?

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Tout débuta le jour zéro de sa vie, un jour caractérisé par les cris de souffrances causé par l'accouchement, les pleures du nouveaux née, la chaleur du Soleil, le bonheur d’un couple du clan Ushobi. Ce jour était heureux… oui… plus heureux que bien des jours et peut-être même le plus. Le clan Ushobi avait alors délaissé leur habitude journalière, leur entraînement, pour venir voir le nouvel être dans ce monde, le nouvel enfant, faible et petit, fragile, qui allait devenir la fierté Ushobi, c’était sa destiné, c’était l’héritier. Comme toujours, le Soleil chaud, tropicale, illuminait la peau pâle et froide des membres du clan, les membres souriant et heureux, presque autant que les nouveaux parents. Ainsi le jour zéro était le plus heureux de l’existence de Yabaku et le pire dans tout cela, c’est qu’il ne s’en rappelle pas. La foule qui attendait patiemment au pied du balcon, ne voyait en fait que l’ouverture sombre de la porte, ne voyant pas ce qui se passait à l’intérieur. Rapidement, les gens commencèrent à parler, expriment leur hâte de voir le nouvel enfant, l’héritier du clan, l'espoir de bien des personnes du clan. La foule massive et bruyante se tût rapidement pour laissé place à un profond silence, le genre de silence polie et respectueux vis-à-vis la personne qui allait s’exprimer. Ainsi, l’Ushobi-Sensei se tenait ainsi, sourcils grisâtres, rides présentent, regardant la foule d’illuminé, qui avait, eux aussi, le regard rivé vers le Sensei du clan. Le vent se mit doucement à souffler une brise chaude, emportant avec elle quelques feuilles un peu trop légères pour résister à celui-ci. Elles s'envolèrent tout en observant, d'une certaine façon, la population en dessous, autour, qui était immobile et silencieuse. Le regard blanchâtre, blême, presque absent du vieil homme balayait la foule de celui-ci. Peut-être celui-ci était à la recherche d'un possible assassin, ou bien était-il seulement émût de voir son clan, autrefois séparé, maintenant réuni par le bien de cette nouvelle création enfantine. Un léger soupire vint doucement franchir les narines de l'être vieillard, non pas un soupire exaspéré par le temps, de la vie, des choses, mais plutôt le genre de soupire qui veut dire : « Enfin » ou bien « dieux merci » (Les Ushobi sont polythéistes) Un sourire de soulagement. Un raclement de gorge ne tarda pas à suivre, alertant ainsi chacun des membres du clan que leur Sensei, « le vieux sage du clan » prenne la parole et fasse part de ses prédictions et éclaircisse la tradition de l'héritier et son rôle, en tant qu'élu Ushobi. La bouche ridé et asséché par le temps s'ouvrit doucement pour laissé une voie pâle en couleur et chaleur, affaiblit mais gardant toutefois un certain charisme qui était émit à chaque fin de mots, terminer par une syllabe sec comme tout Sensei de ce niveau. Son discours commença ainsi par ses paroles d'espoirs:

-Mes chers fils et filles du clan Ushobi, depuis des générations que nous raffinons notre art, incompris par le monde extérieur, incompris par ceux qui ne croit pas en notre force. Nous sommes l'héritage de travail acharné, de siècle en siècle. Chacun de nous, nous travaillons sans relâche la soierie, le Fûton et le Katon pour mieux ainsi servir la parole des dieux qui nous en ont fait cadeau. Au départ nous étions faible, nous n'avions aucune identité et nous étions esclave des plus forts, des autres, mais nous n'en sommes pas resté là. Nos ancêtres ont persévéré et on gagné leur respect et leur force, notre force à chacun. Nous avons fait de la chose la plus belle de ce monde une arme destructrice et mortelle dont nous seul connaissons les secrets de cet art. Maintenant, laissez-moi vous rappelez notre tradition que nous effectuons à chaque siècle:

À chaque siècle, les dieux supérieurs nous envoient à nous, serviteur, représentant de l'art, un être qui nous attribuera une technique secrète à notre clan. Chaque cent ans, notre clan est plus puissant, plus fort et surtout plus redoutable dans ses techniques. Il y a exactement 100 ans, ce fût moi. Le siècle est déjà passé et maintenant le tour va à ce nouveau née, Yabuka. Sans le savoir réellement, Yabuka personnalisera l'art de l'Oru et produira une nouvelle technique qu'il devra vous enseignez, tel est sa destiné... tel fût la mienne. Sur ces paroles mes camardes, retournez voir vos familles, vos enfants et rappelez-vous les trois vertus de notre clan.

Au lieux d'être simplement suivit par les paroles du Sensei, la foule nombreuse et vaste parla tel une simple et unique voie discipliné et bien cadencé.

« De mon savoir, je le donne aux générations futures.
De ma vie, je la donne au savoir pour les générations futurs.
De l'art, je le voue à ma vie, mon savoir, et à un monde parfait. »

À la suite de ces grandes paroles, le vieux Sensei centenaire se tourna doucement, le dos voûté tel un vieillard, la barbe blanche touchant presque le planché de bois de ce balcon. Le vent souffla, emportant encore quelques feuilles innocentes en guise de réponse au Sensei du clan, caressant la peau de celui-ci, caressant le visage du vieil homme. Il rentra doucement dans la chambre qui était connecté avec le balcon où il avait son discours précédemment. Il faisait dos à la foule qui commençait peu à peu à vagué à son occupation. La tâche du vieil homme ne faisait que commencer par contre... Il leva son regard vitreux et sec vers la jeune femme ainsi que le jeune homme qui était penché vers le jeune enfant, nouvellement née dans notre monde, qui tentait d'agripper une des mèches de cheveux de sa mère. La mère se mordillait le coin de sa douce lèvre en observant son fils et ses nombreuses tentatives. Le vieillard se rapprocha doucement pour ainsi mieux observer l'enfant née.

Ainsi c'est vraiment lui le petit Yabaku?

Ses yeux scrutèrent le bébé de haut en bas d'un air critique, s'arrêtant aux yeux bleutés tel deux pleines lunes, presque blancs. Aucun doute, c'était bien l'héritier, seulement... une certaine inquiétude restait présentent chez le vieillard. Il n'y a aucune garanti que cet enfant suivra la même voie que les autres héritiers... et à chaque héritiers, cela faisait office d'inquiétude et d'insomnie et ce regard, n'était pas des plus réconfortant à ce niveau. Il continua à observer son petit-fils, puis, releva son regard vitreux et sans jeunesse vers sa fille, nouvellement mère, qui observait elle aussi l'enfant qui commençait peu à peu à s'endormir.

-Ce regard, j'ai l'impression que ton fils sera différent de nous tous. Peut-être retient-il davantage de toi que de ses ancêtres.

-Père, vous savez que...

-L'heure est tardive et il te faut reprendre des forces... regarde toi, tu es couverte de plaques de fatigues et de sueur.

-Mais père je...

-Va te couché, je prendrais un peu de thé avec ton mari afin de clarifié quelques petites choses. C'est une belle journée pour le clan, tu es mère et moi grand-père... cependant cette journée doit prendre fin afin que tu puisse savouré la prochaine.

La jeune mère, se redressa doucement, tête baissé, se retirant doucement vers la salle d'à côté, faisant glissé la porte coulissante. Par après, personne ne sait réellement ce qui s'est dit, mais l'on raconte que la conversation fût plutôt tendu à ce niveau. Une rumeur fait entendre que le Sensei aurait voulut la garde entière de l'enfant, souhaitant l'entrainer le plus de temps possible. Le père aurait alors refusé et argumenté un bon nombre d'heures, seulement, personne n'en est vraiment sûr...

**************


Les feuilles d'automne rosées volant dans l'air, dansant le rituel d'automne comme chaque année, depuis le tout début des temps. Ainsi elles restaient toujours témoins de la vie du jeune Yabaku, tel des yeux se baladent dans l'air, observant en silence, sans jamais rien susurrer. Yabaku lui, se risqua un petit coup d'œil vers le ciel bleuté, observant ainsi le troupeaux de nuage, les feuilles observatrices. Yabaku en était presque ému de ce ciel, se demandant, combien de temps allait-il le voir de la même façon. Peut-être la voie du ninja n'est pas aussi positive, peut-être transforme-t-elle le ninja, l'éloignant des belles choses de notre monde, des choses simples. Ainsi, peut-être le ninja oublie-t-il un peu trop rapidement le parfum des fleures, l'uniformité des grains d'herbes qui garnit notre sol. Ce n'était pas son destin, son avenir. Son avenir était de suivre la voie du ninja et de devenir une machine à tuer, faire des missions au profit des plus forts, personnes qui ne savent pas regarder la beauté du monde autour d'eux et qui préfère salir le sol de rouge.

Un kunaï remit Yabaku au droit chemin, lui sifflant juste derrière la tête en frôlant sa queue de cheval noire et soyeuse tel la soie. Il tourna doucement la tête vers la source de ce lancé rapide et voir même plutôt dangereux, si cela aurait venu d'un homme maladroit et sans aucune adresse. C'était bien lui, le Sensei, son grand-père responsable de son entrainement et de son évolution dans se monde, dans le monde des ninjas. Yabaku prit doucement un kunai dans son petit étui à taille et fonça sauvagement sur le Sensei, avec une certaine agilité, le combat commença ainsi, ou plutôt, l'entrainement. Je vous épargnes les détails du combats, ce genre d'information est plutôt inutile.

Le Sensei se tenait sur le roché, observant son petit-fils Yabaku, le garçon épuisé, le visage poussiéreux à force de tomber face contre sol. Ainsi, son petit-fils semblait au bout de ses forces. Ce dur entraînement journalier lui avait retiré son endurance et maintenant le jeune garçon était complètement au bout du rouleau. Son chakra presque totalement utilisé, la respiration chez le garçon était plutôt rapide, tentant tant bien que mal de reprendre des forces. Le vieillard observait l’enfant de 8 ans, d’un air plutôt hautain et voir même dédaigneux à l’égard du jeune garçon. Les yeux vitreux du vieil homme se plissèrent doucement avant de prononcer quelques paroles.

-Dit moi petit Yabaku, vaut-il vraiment la peine que je t’enseigne le tissage et les secrets de notre clan? À te regarder ainsi, tu es bien trop faible... Il te faudra bien plus que cela pour réussi à tisser serait-ce qu’un petit file de soie. Il est… totalement impossible pour toi de tisser dans cet état si lamentable. Un bon Ushobi doit être en mesure de tisser peu importe la situation car sa survie y est directement lier.

-Alors, apprenez le moi! Vous, vous y êtes parvenu! Non?

Un léger ricanement du vieil homme s’en suivit, relevant doucement son regard vers son petit-fils.

-Pour pouvoir tisser, chaque membre doit faire un sacrifice important qui a de forte conséquence, ce genre de jutsu possède de nombreux effets secondaires car justement, nous devons trouver une réserve de Chakra pour pouvoir le manier.

Le vieil homme fit un second ricanement, cette fois-ci un peu plus bruyant que le premier.

-Tu es bien trop jeune pour cela… je t’en reparlerais dans quelques années. Va donc voir au marché, je crois qu’il y a une troupe de théâtre qui pourrait bien te divertir, un Ushobi se doit d’aimer l’art tu sais.

Pour une des rares fois, le vieux Sensei sourit délicatement en direction du jeune garçon qui lui, affichait un air plutôt surpris de ce sourire rarissime. Le jeune garçon, la mine toujours épuisée et renfermée, fût surpris en voyant le Sensei maintenant à ses côtés, la main sur son épaule. Ses yeux d’enfant se rivèrent en direction du Sensei, l’air curieux. C’est toutefois le Sensei qui parla.

- Yabaku, ton grand frère fût l’erreur de vouloir être trop fort trop rapidement, il en a payé de sa vie. Sa mort ne fut pas vaine, car grâce à cela, tu ne feras pas la même erreur n’es-ce pas?

- Je ne me rappelle pas de mon grand frère, seulement de… brèves images flous et sans détail, tel notre reflet dans l’eau, mais je ne suis pas mon frère. Vous même, l'autre jour, vous m'aviez dit que peu importe la situation, il fonçait tête baissé sans y réfléchir et puis, je suis l'héritier de ma génération, je ne suis pas comme les autres.

- Toi, tu es comme les autres et tu le restera si tu ne m'écoute pas. Ton frère te ressemblait beaucoup tu sais, même si tu dis le contraire. Il avait le même air sûr de lui, sauf que les yeux étaient totalement différent... Allez, allons voir le théâtre.

- Le théâtre ne m'entrainera pas grand-père! Et puis, les acteurs ne m'intéresse pas.

- Yabaku, Un bon ninja est en soit un bon acteur, car le champ de bataille peu être considéré comme une pièce de théâtre dont la fin n’est pas encore écrite. Dans chaque pièce, seul le personnage principale survit, retient bien ses mots, il en tien de ta vie. Considère cela comme un entrainement plutôt qu'une perte de temps, de toute façon tu es bien trop épuisé pour lancé un simple kunaï.

- Oui… d’accord Sensei!

-Allé, chaque soir tu devras faire cet entrainement et tu devras y prendre plaisir!

Nous pouvons croire que ce petit entretien avec le Sensei et son petit-fils est insignifiant et sans importance, pourtant, ces paroles n’ont cessé de résonner dans l’esprit du jeune ninja. C’est à partir de ce moment clef que Yabaku commence à vieillir et bâtir sa personnalité. Le jeune garçon, soumit à son grand-père, à l’apprentissage de son clan, allait peu à peu se métamorphosé en autre chose. Bien sûr, il est encore loin de l’homme qu’il est présentement.

Yabaku avait un frère du nom de Gyuji. Il était, bien sûr, l’ainé de celui-ci, mais il n’est cependant en aucune façon l’héritier Ushobi, disciple du Sensei. Gyuji était plutôt doué en ce qui attrait le combat et ce genre de chose. La grande différence en Gyuji et Yabaku réside plutôt dans l’intelligence. Yabaku, comparé à son frère, maitrise bien plus la logique que la force alors que son frère n’était pas un être très réfléchit, mais il possédait une résistance surprenante qui causa en fait sa perte. Un jour, Gyuji voulu développer ses gênes d’Oru de façon précoce et trop subite. Les gênes Oru sont dangereuses à faire réveiller pour un corps aussi jeune et faible d’un enfant de 8 ans. Seulement, la résistance surprenante de Gyuji lui était montée à la tête tel un poison mortel car, c’était bien ce que le destin lui réservait. Pendant le réveille du corps de Gyuji, son corps ne pu supporter la douleur insupportable de tous ses membres et ainsi, ses gênes prirent tout son chakra jusqu’à même sa vie. Alors au lieu de devenir un shinobi capable de bien des choses, il est devenu une enveloppe inerte, sans vie ni âme. Ainsi termina la vie de Gyuji… d’une façon plutôt pathétique pour un shinobi…

« L’on ne devrait pas vivre cela à 13 ans… »

Yabaku ne voyait rien, ne sentait presque plus rien. Il ne faisait que ressentir le derrière de sa tête écouler un peu de sang. Il sentait son esprit tourner dans un trou béant de noir et de néant. Était-ce un rêve ou la réalité? Comment cela aurait-il pu arriver? Il ne voyait rien, quelque chose lui bloquait la vue. Peut-être un bandeau… un sac pour l’étouffer?! Non… qui du clan aurait osé faire une telle chose à l’héritier? N’es-ce pas risqué d’enlevé l’espoir du clan? Non, c’était sûrement des bandits, assoiffé de sang, sauvage et sans manière.

Yabaku se souvenait seulement d’une nuit normale dans un lit douillet comme tous les autres après un entraînement. Lorsque ses paupières vinrent pour clore, il entendit une voie féminine, calme, attirante et féerique qui interpellait le jeune garçon, disait son nom d’une façon sensuelle (Bien que pour sa part, il ne comprenait pas vraiment se genre de ton de voie.) Dupé par la curiosité de la chose, Yabaku fit l’erreur de se levé, glissé ses pieds dans ses pantoufles, marché sans aucune subtilité (Il était bien trop fatigué pour réfléchir…), se diriger vers la cuisine et c’est là, qu’en une fraction de seconde, il sentit une masse lui fracasser le crâne et l’envoyé dans les vapeurs de l’inconscience. C’est là que tout commença réellement à tourner au vinaigre dans l’avenir du jeune Yabaku.

Il se sentait entouré d’une sorte de corde étrange ou en tout cas, quelque chose le gardait prisonnier, les bras et les pieds complètements liés. Allait-il mourir? Ou être vendu en esclave quelque part? Ce ne pouvait être ça, il ne s’est quand même pas entraîner pour aucune raison, aucune pièce de théâtre ne se déroule ainsi. Non, ce ne pouvait être la fin. Il sentit tout son corps se posé contre quelque chose de froid… humide, de dure et de très inconfortable. Le jeune garçon détestait cette situation. Il ne savait rien de rien de ce qu’il se passait! Rien! Il ne voyait que le néant dans son esprit encore embrouillé par le coup de masse derrière la tête. Il entendit des voies plutôt floues car… quelque chose semblait aussi lui couvrir les oreilles? Ainsi, ses agresseurs ne souhaitaient pas qu’il entendre la conversation et ils avaient réussi leur coup. Qu’allait-il vraiment lui arriver… qu’allait-il se passer maintenant? Allait-il ouvrir les yeux dans son lit, se rendant compte que tout ceci n’était qu’un rêve? Non, ce n’était pas un rêve. Toute cette sensation était réelle et bien là. Tout était trop net pour être un simple rêve flou de son imagination. Puis, une lumière aveugla ses yeux grisâtres, étant trop habitué à l’obscurité de son bandeau. On lui avait bel et bien retiré le bandeau qui lui couvrait les yeux et les autres qui couvraient le corps suivirent. Ainsi, il était techniquement libéré, seulement, son corps ne répondait plus, il était complètement paralysé! Plus rien ne répondait, il n’avait que son esprit qui était encore présent. La tête vers le haut, il voyait cinq personnages autour de lui, capuche cachant leur visage, chandelier en guise d’éclairage morbide. Qui était-ce? Il l’ignorait totalement. Seulement… ils semblaient le connaître, ils n’étaient donc pas totalement inconnus. Une voie masculine commença à parler, d’une voie plutôt froide.

-Ce jeune garçon est bien trop jeune pour subir ce rituel. Il n’a que 10 ans, son corps ne pourra pas le supporter.

Une voie de femme, plutôt sec et froide suivit.

-Nous devons choisir notre côté entre les épéistes et le pouvoir en place. Ce jeune enfant sera notre cadeau pour le côté que nous aurons choisit… le plus profitable pour nous.

-Les épéistes sont bien trop barbares pour accepter l’héritier qui est encore fragile. Le pouvoir en place est bien plus propre et bien mieux pour notre clan et pour l’héritier.

Une vieille voie d’homme suivit les dires du dernier.

-Il faudrait d’abord que… Yabaku survive au rituel. Si c’est le cas, nous serons enfin bien placé dans la hiérarchie du village et notre art sera reconnu. Nous verrons la différence entre son frère et ce jeune homme. S’il meurt, nous aurons au moins un danger en moins, il évolue bien trop rapidement. Qu’en pense-tu toi, hum?

La tête encapuchonnée s’était tournée vers un autre, qui ne s’était pas encore exprimé.

-Nous vouons notre vie à l’évolution, j’en sacrifierais ce dont je dois sacrifier.

-Bien… commençons.

Ainsi c’était ça? Ses propres membres de clan voulaient le donner en échange d’ambition égoïste? Oui, c’était bien ça. Il aurait dût s’en douté… une pièce de théâtre doit avoir un dénouement pour qu’elle soit intéressante… et il était dedans. Il sentait maintenant les flammes de la colère bouillir l’intérieur de son être. Mort au traître, mort à ceux qui font du mal au personnage principale de la pièce de théâtre. Oui, un enfant était capable d’être aussi haineux. Et ce rituel… parlaient-ils de l’Oru? Surement… il devait absolument y survivre, il devait absolument y survivre pour faire ce dont il est destiné à faire, peu importe la douleur qu'il aura durant ce rituel, il en sortira victorieux!

Il vit doucement le silencieux des cinq s'approcher doucement de lui. Les quatre autres se mirent doucement en position afin de malaxé leur chakra. Ainsi, le rituel commençait déjà. L'homme encapuchonnée se pencha doucement au dessus de Yabaku, posant chacune de ses mains gantés contre ses avants-bras. Les mains de l'être s'illuminèrent doucement, laissant doucement parraitre un sceau contre les bras du garçon. Puis, il glissa ses deux mains contre le torse nue de celui-ci, ses mains s'illuminant une seconde fois.

-Technique du sceau Oru!

Une forte lumière jaillit du torse du jeune homme, là où les mains étaient apposé. Une douleur terrible, inimaginable envahit le corps du jeune garçon, mais surtout les bras. Il avait l'impression que ses bras commençaient peu à peu à se découper, à s'arracher de son corps. La douleur était complètement insoutenable, Yabaku avait peine à respirer. Il ne fallait pas qu'il abandonne, il ne fallait pas... Un trait d'encre ,venant de ses avants bras, se dirigea doucement vers le torse du garçon, comme s'il aspirait les sceaux précédemment fait. Plus les traits se rapprochaient de son torse, plus la douleur était inhumaine. Puis, tout cela cessa subitement, la douleur et tout. Tout sauf une chose, ses bras étaient maintenant plus blancs que d'habitude et ils étaient encore douloureux.

-Voilà... on dirait qu'il a survécu.

-Bien... maintenant, envoyons le à Kiri.

-N'osez même pas me toucher...

Yabaku était encore conscient. En mauvaise état mais... il semblait toutefois ressentir une énorme quantité de chakra dans son corps. Malgré la forte douleur, ce rituel avait sût être réparateur et il retrouvait rapidement ses forces, partout sauf à ses bras. Il se redressa doucement, assit sur la table en pierre, abaissant son regard à ses mains. Il pouvait bougé les mains... Il sentait le flux du chakra dans ses veines, un flux impressionnant! Oui... il sentait même les files de soies qui sortaient du bout de ses doigts, il pouvait tissé! Seulement... il devait sortir d'ici avant tout. Il commença doucement à tisser un drap de soie luisant. Ainsi c'était vrai, l'Oru est dans la nature des Ushobi, cela est plus qu'une simple technique, c'est un don de naissance. Les cinq personnages étaient en quelque sorte paralysé par ce qu'il se tramait. Non seulement le rituel avait marché, mais il avait sût être un franc succès, il savait déjà tisser! Ils étaient mélangé entre la fierté et la colère car, il n'était pas mort, et Yabaku ils n'avaient plus de chakra pour se battre...

Le premier homme tomba, la tête tombant sur le sol. Celle-ci ne sût résisté à la languette de soie qui servait d'arme, d'épée. Yabaku, cheveux au visage, sang sur l'épaule, bras pendant, était debout sur la table de pierre, un léger sourire sur le recoin de ses lèvres.

-Pourquoi me vouloir autant de mal? Pourquoi avoir fait cela? L’on ne devrait pas vivre cela à 13 ans… Je ne devrais pas devoir tuer mon propre père et mon Sensei pour ma propre liberté, n'es-ce pas? Je... je ne comprend pas!

Tel un fouet, il fit tourner la lame en soie autour de lui pour fendre la tête d'un celle qui avait une voie féminine. Il se mit doucement à marché en direction de celui qui devait être son père et l'autre son Sensei.

-Je ne suis pas... votre arme!

Personne ne sait réellement ce qui se passa. L'on trouva les cadavres des personnages encapuchonnés contre le sol, scène d'un bain de sang morbide qui se passa dans les petites heures du matin. Cette journée là, le Soleil se leva rouge comme le sang car un démon était maintenant apparut et ce n'était qu'un début. Yabaku alla là où il était destiné au départ allé, le village de Kiri. Les dirigeants crurent au départ qu'il était envoyé par le clan Ushobi, donc il put avoir un accueil agréable, mais la suite était loin de l'être.

**********


Yabaku parvint à dégager un premier bras de cette enveloppe qui couvrait son corps, une enveloppe douce et soyeuse de soie qui protégeait le ninja. Son cocon protecteur n'avait pas sût protéger entièrement l'Ushobi de cette explosion massive et imposante qui aurait certainement dût le tuer s'il n,aurait pas été si rapide. Les membres de Yabaku tremblaient, choqué par la puissance et le coup reçu malgré l'armure. La vision du jeune homme tournait et laissé une sensation étourdie et tourbillonnante. Son corps tremblait comme une feuille que l'on aurait exposé à un vent trop fort pour elle, une feuille fragile comme à l'automne. Yabaku parvint finalement à se tirer, à l'aide de son bras, hors du cocon de soie, son corps luisant par le liquide protecteur et bienfaiteur du chrysalide. Sans, il rampait sur le sol humide par la rosée du soir. Il ne pouvait à peine bougé ses bras, n'ayant même plus assez de chakra pour contrôlé la soie qui les entouraient, moteur de ses bras. Il était dans un piteux était... un état faible et sans défense, mais il avait réussi à survivre, survivre à cette nuit. Ceci était un exploit... La pièce pouvait ainsi continuer. Le jeune être osa jeter un regard pardessus son épaule, observant les flammes qui émanait de l'une des salles du temples, embrasant le ciel et l'horizon. Un soupire soulagé et las parvint à franchir ses lèvres blanchâtres et douces. La fatigue se faisait ressentir sur ses paupières, alors que le shinobi tentait de ne pas sombré dans un sommeil réparateur. Au lieu de cela, il examina sa localisation par rapport au village. Était-il toujours à l'intérieur des murailles? Non, il les voyait au loin dans la brume colorée par le feu. Lui, était entre deux rochers tout près des montagnes. Il revoyait la scène... la scène de l'explosion alors qu'il était parvenu à faire sa technique juste avant d'être dévoré par les flammes. L'explosion l'avait en quelque sorte propulsé à une distance considérable comme il l'avait prévu. Cependant, il était mal en point et il avait peut-être une jambe de cassée... Tel un coup de couteaux dans ses pensées, le bref souvenir de ce jour où il perdit l'usage de ses bras normaux, comme un mal de tête passagé, un cauchemar bref mais douloureux.

3 jours avant le coup d'état:

Yabaku pinçait les cordes de son shamisen dans l'ombre de l'homme assit dans son fauteuil, son « maitre ». Les cheveux sombre de Yabaku, beaucoup plus long que dans son enfance, tombait dans le bas de son dos tel la crinière d'un lion. Faignant de ne pas écouté, le shinobi jouait sa petite harmonie que peu n'écoutait réellement, bien trop emporté dans leurs problèmes et leurs mésententes. L'ange silencieux ne faisait qu'écouter et prendre des notes dans son esprit calculateur.

Après s'être retrouvé à Kiri, un chef de clan du nom de Gamano accepta les services de Yabaku malgré les rumeurs des actes de ce dernier, ses actes sanguinaires et meurtrier. Ainsi, Yabaku fût considéré comme un membre de Kiri à part entière. Encore, il préserve son bandeau de la Brume dans ses appartements ou bien tout simplement sur lui. Il n'avait pas vraiment de titre. Bien qu'il faisait partit du village, les dirigeants ont préféré le mettre de côté avec son « maitre » et l'observer en le tenant à porté de main. Un ninja comme Yabaku pourrait être dangereux ou bien totalement inoffensif... Cependant, Yabaku avait choisit son maitre. Il l'avait choisit pour une raison spécifique. Premièrement, Gamano était du côté des épistes pour prendre le contrôle en tuant le Mizukage. En plus de cela, Gamano était un homme simple d'esprit et plutôt glouton. Savoir possédé une langue de vipère permet de contrôler ce genre de personnage avec aise, surtout lorsqu'on possède un visage angélique et plutôt inoffensif comme celui de Yabaku. Ainsi, il semble être au premier regard une marionnette de Gamano, mais c'est le marionnettiste qui est en fait contrôlé par la marionnette. Gamano était un être imbécile et ingrat qui allait là où il pourrait se faire lécher les pieds sans même lever le petit doigt et son gros ventre garni. Il était à la fois du côté du Mizukage et à la fois du côté des épéistes. Pourquoi resté près du Mizukage? Parce qu'il est un des conseillés à cause de son titre de chez de clan. Même si le Mizukage n'y prête aucune attention, Gamano garde un certain pouvoir politique que Yabaku use amplement dans ses viles paroles. J'attribue donc le titre de parasite à cet homme.

Pendant le coup d'état, le rôle de Gamano et de Yabaku serait d'ouvrir les portes du temple de l'intérieur afin de permettre aux épéistes et leur serviteur de foncé directement vers le Mizukage et le mettre à mort. Seulement, les choses ne se passèrent aucunement ainsi. Alors que les épéistes et le clan de Gamano se battait à l'extérieur, Gamano et Yabaku attendait à l'intérieur afin d'ouvrir les portes comme il en était entendu seulement, c'est là que Yabaku montra se vrai visage, sa neutralité. Il tua d'abord Gamano... les portes ne s'ouvrirent pas et assassina d'une façon plutôt sanglante les gardes de la bibliothèque. Les choses allèrent mal pour les épéistes qui voyaient leur coup d'état tomber dans le néant, bien pour Yabaku qui lui, pouvait enfin avoir accès à la bibliothèque et trouver les informations nécessaires sur les techniques de son clan, des montagnes bleues. Il y était et mit rapidement la main sur les parchemins qu'il avait besoin, les parchemins qui étaient son trophée après cet enfer d'eau. Après les souvenirs étaient plutôt flou. Yabaku se souvint d'un homme vêtu tel un Kage et de quelques Jounins. Ils le connaissaient... et c'était bien lui, l'héritier Ushobi était donc à l'origine de tout cela et ce, seulement pour son propre profit. Il avait tuer son maitre, ses frères d'armes pour pouvoir mettre la main sur des documents... Il ne devait pas reculer... Les jounins se souviennent encore des banderoles de soies jaillissant de ses manches, tapissant les murs de soies explosives, colorant ensuite les murs d'orangés tel une explosion.

Chapitre 3 en attente d'image

Il était un simple sujet d’observation, un phénomène étrange d’un clan étrange. Il n’était que chose à étudier et à prendre note. L’être à l’intérieur de Yabaku fascinait Orochimaru et ses complices. Les capacités de ce Shinobi intéressaient un peu Orochimaru, bien que le cas du jeune Sasuke et du dernier Kaguya l’intéressait bien plus. Peut-être se servir de Yabaku sous une autre forme serait plus avantageuse. Peut-être le prendre comme disciple avec les quatre autres seraient avantageux. Non, pas avec les 4 ninjas du son… Il envoya donc Yabaku rejoindre son destin. Il l’envoya donc dans une sorte d'exil pour que l’Ushobi se rapproche de la source de ses parasites, l’être vénéré par les Ushobi. Après,Yabaku aura évolué et pourra s’occuper de certaines choses et Orochimaru pourra enfin se concentré sur ce qui est réellement important et sur sa futur enveloppe corporel. Yabaku maintenant en exil, les dés de son destin était jeté et peut-être que enfin, ses gênes d'héritiers Ushobi allait s'éveiller. Conscient de son devoir, l'Ushobi ne trouve point grand chose à placer dans son baluchon. Il n'était pas un être bien bien matérialiste, il préférait garder les belles choses là où elle devait être. Sandales aux pieds, une route de terre devant lui, il était donc repartit comme au départ, comme ci il était en quelque sorte condamné à marcher et voyager. Il savait déjà où allé et les informations qu'il avait sût recueillir lui avait simplement confirmer et donner confiance en son objectif qui lui était destiné : Trouvé la source, le Kaiko. Passant du sud au nord, de l'ouest à l'est, la route était longue, froide et sauvage. Nombreux villages ressuent la visite de cet homme mystérieux et sombres qui faisait le tour des galeries d'art. Il se fit donc une petite réputation à travers les plus petits et les plus gros villages sous le nom de l'Oru, le tisseur. Trainant toujours avec lui un shamisen, portant de riches vêtements de soies. On le nommait Oru puisqu'il semblait tisser ses propres vêtements et il échangeait certaines pièces contre de la nourriture ou bien tout simplement des informations sur les environs. Peu le considérait réellement comme un shinobi de taille, il était davantage un vagabond à la vue des autres, un simple voyageur. Seulement, il était passé à Suna juste avant l'assassina de leur Kazekage. Il était aussi passé à Konoha juste avant l'attaque. Son titre de vagabond lui collait tellement à la peau que peu de gens le soupçonnait de prendre des informations pour le compte d'Orochimaru pendant son faux exile. [Tous les villages le connait sous le nom de L'Oru, ce qui signifie : tisser.] C'est à la fin de son exil qu'il atteint finalement les montagnes bleues de Kiri. Détournant les patrouilles et le village, Yabaku gravit les montagnes bleues lors d'une tempête de neige comme son ancêtre l'avait fait il y a de cela des siècles. Il marchait, manteau bien attaché, foulard enroulé autour du visage. Il ne cherchait pas le loup de Kiri, mais plutôt une autre créature totalement différente qui réside plutôt dans les limbes de cette montagne, enfermé par les shinobis Ushobi. Il atteint donc le sommet de l'un des nombreuses montagnes du plateau et il trouve finalement la caverne...

Il était, genoux au sol, tête baissé comme un fier serviteur d'Orochimaru. L'être machiavélique observait son serviteur, revenu victorieux de son exil. Les choses allaient donc se dérouler en faveur du village d'Oto, en faveur d'Orochimaru... ainsi que de Yabaku. Tenant le parchemin, conteneur du pacte de sang en main, l'Ushobi était donc pleinement près à suivre les ordres de son maitre et aussi d'accomplir sa destiné.

Résumé rapide et explication de quelques détails manquant.

Yabaku héritier du clan Ushobi, tue son grand-père, son Sensei, malgré ses sentiments pour lui. Le parasite de chakra habitant ses bras lui permet d'utiliser le jutsu du Kinuito, mais la douleur du rituel nommé Oru affecta son esprit ce qui le rendit indifférent et sans regrets par rapport à son ancien maitre. Il se sauve à Kiri où il décide de rejoindre un clan dirigé par un crétin qui sût manipuler. Pendant l'assaut des épéistes, Yabaku tue le chef de clan idiot et ses membres et se sauve dans une explosion en emportant avec lui les documents des Ushobi afin de trouver la tanière d'une créature. Il rejoint les rangs d'Oto comme cobaye d'Orochimaru. Orochimaru, voyant un certain potentiel, décide de l'envoyer en exil temporaire afin de trouver la tanière d'après les documents de Kiri. Après avoir cueillit quelques informations dans chaque village sous le surnom de L'Oru, il trouve la tanière du Kaiko dans les montagnes bleues. (Les détails ne sont connut de personne lors de la rencontre.) Il revient avec un pacte de sang de cette créature au près de son maitre Orochimaru.